Le weekend dernier, vous aviez le récit et les images... fixes.
La vidéo était presque prête mais, je butais sur le fond musical.
J'ai planché sur le sujet toute la semaine pour aboutir seulement en cette fin de samedi après-midi
C'était pour moi l'occasion d'étrenner mon nouveau logiciel de montage vidéo Pinnacle Studio 15 Ultimate.
Soyons francs, je ne suis pas déçu : toujours aussi ergonomique et puissant.
Reste plus qu'à progresser côté montage
Deux semaines déjà que ce bel événement est passé.
Je suis toujours en phase de récupération et le temps pourri actuel, avec ses pluies et vents très soutenus, n'incite pas à la débauche d'énergie.
Encore aucune course à mon planning à ce jour : faut pas que je me laisse aller
Choix musical : Excellent (je suis fan de muse)
Image : qualité en net progrès, pourquoi ? Vas-tu moins vite ou as-tu un bon stabilisateur d'images ?
Marathon bien arrosé, pas besoin de se doucher à l'arrivée
Sympa le passage avec les 1ers à ta droite, il n'y avait pas une si grosse différence de rythme que toi !
Allez, à + JC, peut-être du côté de Bouguenais
L'organisation de ce marathon était parfaite.
Le parcours, lui aussi, était très chouette.
Il ne nous aura manqué que le soleil
La pluie, qui nous avait épargné les jours précédents nous laissant visiter Milan à notre guise, nous a cueillis dès la sortie de l'hôtel et ne nous a pas lâchés de toute la course. La fraîcheur et le vent n'ont pas vraiment arrangé les choses.
Une course que j'ai bien gérée sachant que je n'avais pas vraiment les moyens d'aller très vite.
J'ai même retrouvé un peu de vitalité sur les derniers kilos que j'ai parcourus crescendo.
Un peu plus de 4h13 au final, satisfait.
Milan, c'était aussi l'occasion de retrouver mes amis Pierre (Pconvert), Dany (La Tortue) et Mounir.
De ce côté là, carton plein, je vous raconterai. Le blog milanais
1h20 de retard au décollage pour 1h10 de vol, on peut dire que ce déplacement en terre lombarde commençait plutôt poussivement.
Milan nous a donc accueillis hier en fin d'après-midi.
Ce n'est qu'aujourd'hui que nous sommes réellement partis à l'assaut de cette cité... où le foot est roi.
Nous avons beaucoup marché pour découvrir les premières attractions milanaises : le Duomo, cette impressionnante cathédrale aussi grandiose de l'intérieur que de l'extérieur, la Scala qui ne se visite pas, le carré de la mode, grande artère piétonne et commerçante de la ville.
Le ciel plus ou moins menaçant toute la journée, nous a épargné jusqu'en cette fin d'après-midi au abords du village marathon.
Ce marathon, parlons-en : pas une trace du marathon au coeur de la ville, pas une affiche, pas un indice.
Même le village marathon, pas bien grand et caché au sein de l'atrium d'un complexe moderne à deux pas de la gare centrale, semblait la jouer discrète.
Retrait de mon dossard en moins de deux minutes, petit tour, le temps de retrouver Pierre et Dany (Pconvert et La Tortue sur CLM), de collecter le sac et le maillot offerts.
Vite fait, vite dehors.
Demain matin, nous irons faire un petit décrassage baskets aux pieds avec Gaël avant de prendre la direction du château des Sforza.
Côté culinaire, pâtes, pizzas, gelati... ici, c'est la routine
Depuis plus de six mois, j'ai un peu de mal à trouver du plaisir à courir.
J'enchaîne les problèmes physiques - 3 blessures différentes et une grosse maladie - et, à chaque fois, c'est la galère pour reprendre.
Galère à laquelle s'ajoute l'angoisse de me blesser de nouveau.
Dernière frasque en date, une contracture face externe du mollet droit : celle-là, je ne l'avais pas encore testée
Bilan, une semaine de repos total et l'annulation de ma participation au semi-marathon de Saint-André-des-Eaux le 18 mars dernier.
Nouveau coup d'arrêt en pleine préparation marathon... j'ai un peu les boules.
Je vais me retrouver à Milan, dans un état de fraîcheur proche de celui de Marrakech... ça promet
Il faut bien rester
Et, pour ça, j'ai la musique.
En plus de mes cours de guitare électrique, j'ai intégré en début d'année un ensemble musical de guitare classique à l'école de musique de Basse-Indre, pas très loin de chez-moi.
Une expérience très enrichissante qui m'apporte beaucoup de satisfaction et de plaisir (merci Loïck de m'y avoir accepté gracieusement).
Hier, fruit de nos premières séances de répétition, notre petit groupe donnait un aperçu de ses deux premières pièces dans le cadre des auditions de l'école de musique.
Débuts modestes, certes, mais ça représente déjà un gros boulot que de mettre à l'unisson une douzaine de guitaristes de tous ages et horizons.
Rendez-vous en juin pour une suite plus étoffée.
Depuis deux semaines, j'ai entamé ma préparation pour le marathon de Milan.
Juste histoire de retrouver de bonnes habitudes après une période compliquée côté condition physique et même si j'ai réussi à m'en sortir à Marrakech.
Classique programmation donc, j'avais inscrit les 10 km de Couëron à mon agenda, deux semaines tout juste avant le semi-marathon de la Brière à Saint-André-des-Eaux.
C'est pas que j'aime cette distance mais...
Bref, ce matin 9h00, je me garais à deux pas du complexe sportif René Gaudin et courais sous une pluie fine, par un vent froid, me réfugier dans le gymnase pour y récupérer mon dossard : le N° 472.
Sérieux tout de même, je m'astreignais à 20 minutes d'un véritable réchauffement plus qu'échauffement. Les jambes engourdies par le froid et la pluie, emmitouflé dans mes manches longues, mon collant, la tête au chaud sous ma casquette, j'allais avoir du mal à me découvrir pour la course : je partirais quand même en short, manches courtes sous le débardeur et... sans casquette !
A part Laurent, côté organisateur, pas de copain ni de connaissance avec qui me réconforter en parlant.
Il faut dire qu'il n'y avait pas foule ce matin.
Impression confortée lorsque je me collais trois minutes avant le départ au milieu d'un peloton de taille très modeste (205 coureurs annoncés à l'arrivée).
10h00, les fauves sont lâchés. Moi aussi mais j'ai déjà la crinière bien mouillée et tout sauf la grâce d'un félin
Je sais que je manque de vitesse et que ce n'est pas les quelques fractionnés réalisés ces trois dernières semaines qui seront suffisants pour tenir un rythme élevé.
Alors, je mise sur la prudence.
Après un premier kilo un peu rapide (4'11"), je me colle stratégiquement dans un groupe qui tourne un peu moins vite.
Et d'un, je pourrai me mettre un peu à l'abri du vent.
Et de deux, je me sentirai moins seul.
Car le peloton va très vité s'étirer, s'étirer laissant de vastes écarts entre les concurrents.
Heureusement que j'étais dans ce groupe car personne ne nous rejoindra et nous ne rejoindrons personne !
Quelques spectateurs auront quand même bravé ces conditions météo pourries pour nous encourager mais on pouvait les compter sur les doigts des deux mains, à peine plus.
Dans le lot, Dominique, mon compagnon de guitare, et sa chérie m'auront apporté un peu de chaleur dans ce matin à ne pas mettre un rocker dehors
Le paysage défilera régulièrement (entre 4'19" et 4'30" au km) mais assez difficilement sur la première boucle.
Avec la pluie qui s'intensifiait au fil de la distance, du vent que nous avions tantôt de face, tantôt dans le dos, je m'accrocherais à mon groupe, ma seule motivation du jour. J'en ai même oublié que nous courions en bord de Loire.
Mes sensations seront un peu meilleures sur le deuxième tour mais je n'aurais pas assez de jus pour m'accrocher quand mes compagnons accélèreront sur les trois derniers kilos.
Un dernier coucou à Dominique et je me boosterais un peu pour le dernier kilomètre que je ferais en 4'11" comme le premier avec pour objectif de rattraper et de griller le coureur qui était quelques dizaines de mètres devant moi. J'y arriverais de peu et à la faveur d'un sprint dont je me serais bien passé.
Le chrono sur la ligne d'arrivée affiche 43'33".
Pas génial mais, au vu des conditions et de ma forme, un beau fractionné tout de même avec une moyenne de 13,7 km/h.
Ni explosé, ni les jambes en feu, je récupèrerais vite : c'est déjà ça.
Sous un déluge de pluie, j'opterais quand même pour un petit décrassage juste histoire d'aller saluer Dominique et de parler un peu ... quand même !
Je ne trainerais pas pour rejoindre mon chez moi et me taper une bonne douche bien chaude...
... et malgré tout bien méritée
Au final :
99ème / 205
9ème V2 / 25
13,77 Km/h de moyenne (4'19" au km)
Bon, si vous aviez jeté un oeil en début de semaine, même si je ne l'ai pas annoncé, vous avez constaté que l'abum photos était déjà en ligne.
Je complète - enfin - la panoplie avec le récit et la vidéo...ZZ.
Une vidéo au top si je voulais faire un jeu de mot foireux !
Mais, je vous rassure, je ne le ferai pas
Cette belle page marocaine est maintenant tournée.
Je reprends doucement l'entraînement avec à l'horizon, le marathon de Milan le 15 avril prochain. On aura l'occasion d'en reparler.
Je n'ai pas encore décidé mais je vais programmer une ou deux courses locales pour renouer un peu avec 'la vitesse'.
Hier, je faisais ma première séance de fractionnés depuis plus de 3 mois... mal aux pattes ce matin et ce n'était que des 30"-30"
Bravo à toi JC !
Magnifique vidéo, de belles images et ... ça saute de moins en moins ... y a du bien à ralentir !!!
Bonne continuation à toi et Milan arrive très vite !
Cà valait le coup d'attendre (même si çà a été un peu longuet) pour apprécier ces belles images mais aussi ce superbe récit!
Il va bien falloir que j'y réfléchisse sérieusement depuis le temps que Mounir nous tanne pour venir le rejoindre ;-)
Je profite d'un court moment de disponibilité d'un réseau Wifi des plus aléatoire pour poster ce petit message en direct live de notre superbe riad (Riad Yacout - aussi appelé riad Agathe - dans la Medina).
Une arrivée sous un ciel nuageux vendredi... une petite chouille de pluie... qui ne nous a pas empéché de faire une première découverte de la ville ponctuée d'un premier restau CLM bien sympa.
Hier, soleil magnifique et température très douce.
Une visite des jardins de Majorelle créés par Yves Saint-Laurent.
Puis village marathon pour le retrait des dossards.
Un repas chez Bejgueni. puis une bonne glace chez un glacier italien dont j'ai oublié le nom.
Puis ballade dans la medina.
Puis pasta party chez Luigi : fête un peu écourtée car mon Isabelle était souffrante... Patraque, elle est restée au lit une bonne partie de la journée de dimanche.
Moi, ce dimanche, c'était marathon.
Moi, ce dimanche, c'était grand soleil et température très douce.
Je m'attendais à souffrir, sans préparation et avec seulement quelques petites semaines de reprise très en douceur.
Ben, ça c'est vérifié même si j'ai - agréable surprise - réussi à courir lentement, sans douleur, mais relativement bien jusqu'au 35ème kilomètre.
A ce moment, obligé de faire une pause technique, j'ai eu beaucoup de mal à repartir et la fin a été une longue souffrance.
Mais, pas un seul instant, je n'ai pesté ni même eu de pensée négative.
J'étais là, en train de courir, mon bonheur.
Alors, j'ai tchatché.
J'ai même réussi à faire la connaissance de deux... milanais qui, comme moi, courront le marathon de Milan le 15 avril prochain.
Trop fort, moi
Le sourire, je n'ai eu d'autre choix que de l'afficher tout le long de la course tellement tous les spectateurs présents étaient chaleureux et, eux aussi, souriants
Voilà, j'ai terminé en 4h48'20". mon premier exploit de l'année.
Je tiens ma 30ème médaille... le pied
Je ne parlerai pas tout de suite de tous les amis CLM que j'ai retrouvés ici avec plaisir et des nouveaux CLM dont j'ai fait connaissance. J'en aurai pour trop longtemps...
Retour demain matin de ce trop court séjour dans une ville très attachante. Il faudra que nous y revenions.
D'ores et déjà, un grand et vibrant merci à notre hôte dévoué : Mounir.
A bientôt pour l'exercice habituel : récit, photos et une vidéo... pas comme les autres
PS : nos excuses à nos habituels destinataires de cartes postales... trop court, pas le temps mais nous avons pensé à vous
Content que tu es pu finir ce marathon malgré la chaleur et ses faux-plats interminables. Dommage que l'on n'ait pas eu l'opportunité de courir davantage ensemble. Partie remise j'espère ?
Un prompt rétablissement à ton épouse.
Salut et bravo à toi. Effectivement, dommage qu'Isabelle ait été malade et que, pour ce court WE, vous n'avez pas pu profité de Marrakech, c'est une ville très agréable. Bises
Sans préparation !!!!! Mon oeil ....
Tu sais la brouette de zanzibard, la traversée des grandes vorace, la plongée dans les grottes de l'écho, la grimpée du mont Ventrous etc....
ce n'est jamais la veille de marathon.
Des kékés seuls et amoureux = 4h42.
Je comprends plus souffrir en sourire. T'as remis le couvert après ?
Y'aura des photos ?
Je l'attends avec impatience depuis plusieurs semaines.
Comme une bouffée d'oxygène.
Demain, pour la première fois, nous partirons sans nos grands bambins pour rejoindre Marrakech.
Le séjour sera court mais je l'espère intense.
Toujours ce même plaisir de retrouver mes amis CLM.
Mounir, notre pote CLM local, c'est occupé de nous réserver un riad, de nous récupérer à l'aéroport, d'organiser pasta party et repas post course : chouchoutés nous serons
Côté marathon, on verra sur place.
Depuis 4 semaines et après 5 semaines d'arrêt total, j'ai repris en douceur l'entrainement : petites distances et petite vitesse.
Les tiraillements ont sensiblement diminué.
Dimanche dernier, mon mollet à même accepté de me trainer pendant deux heures sur presque 20 kilomètres.
J'ai donc bon espoir de boucler la distance... à condition de courir lentement.
Je mise sur le soleil de Marrakech pour donner de belles couleurs à ma saison 2012.
2011, dernière année de ma carrière de V1, ne m'aura guère épargné.
Dans la continuité de 2010, 2011 aura semé sur mon chemin nombre de problèmes de taille.
Je me suis pourtant bien accroché trouvant dans la course à pied et la musique de beaux exutoires... jusqu'à ce que le physique lâche lui aussi.
Insomnies. Fatigue chronique. Deux blessures en quelques mois. De nombreuses semaines sans courir ni même nager... pour Noël, je me suis même offert une angine et une rhino-pharyngite du tonnerre... la poisse
Au final, moins de kilomètres parcourus, moins de compétitions, moins de récits dans ce blog... triste bilan.
J'ai à mon actif un nombre inégalé de rendez-vous manqués, de projets remisés (dont Québec), de compétitions annulées...
Le marathon restera mon unique source d'éclaircies dans un ciel globalement bien sombre.
Quelques compétitions m'ont également permis de retrouver la chaleur du peloton, le plaisir de retrouver mes amis.
Mon seul record donc cette année, mes 5 marathons dont deux premières éditions à Trélazé et Rennes.
Dans la rubrique "tout n'est pas noir", mes deux évasions à Malte et Reykjavik, moments de répits somptueux entourés des miens m'auront permis de souffler un peu.
9 compétitions seulement.
Un peu plus de 2 400 kilomètres parcourus (contre plus de 3 100 en 2010).
2012 sera ma première année en V2.
Pas question de céder un pouce face à l'adversité
J'ai d'ores et déjà inscrit à mon calendrier les marathons de Marrakech en janvier et Milan en avril.
Je reprends tout juste et très en douceur l'entraînement après une période de cinq semaines d'arrêt total et un mollet encore rétiscent à l'effort. J'ai même réussi à me casser la figure dans un chemin boueux lors de ma dernière sortie, tout un symbole!
J'espère avoir retrouvé un peu de foncier pour mon premier rendez-vous marathon de l'année dans 4 semaines à peine
L'espoir fait vivre.
Tous mes voeux à toi, ta famille et tes proches !
Il y a comme ça des années moins fastes que d'autres. C'est peut-être pour mieux apprécier les meilleurs moments.
Tu as toutefois eu un beau palmarès, et les 100 bornes...
Les blessures, la fatigue, le repos forcé font partie du sport. Il faut apprendre aussi à se ménager.
Je t'embrasse et à bientôt
Je ne vais pas être très original, bonne année et bonne santé à toi et tes proches.
Que 2012 t'apporte ce que tu souhaites tant au niveau familial, que professionnel et bien évidemment sportif !
A + sur nos routes hexagonales.
Allez mon JC on ne se laisse pas aller à la tristesse ambiance, après une année 2011 remplie de bons et surtout de moins bien 2012 sera celle du renouveau c'est sûr!
1ère saison V2 aussi pour moi et 5 semaines d'arrêt aussi, tu vois bien qu'il n'y a pas de quoi se rendre malade encore plus ;-)
Bonne Année à toi et à toute ta famille!