Fondjede
Petit blog d'un coureur ordinaire
04/10/2019 à 18:29 - 100 km Millau : sagesse
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Jeudi 28 Mars 2024Bas de page
  485 article(s)
Marathon
Idx N°58824/10/2018 à 16:24 - Québec : froid pour un #53
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Me voilà en plein jetlag.
Calice, 6h de décalages horaire, faut quelques jours pour s'en remettre.

Mais qu'elle était belle cette aventure québécoise.
Malgré 15 km de marche la veille, j'ai tenu mon rythme de sénateur sur ce 53ème marathon.

2°C au départ, frisquet !
Le soleil a à peine réchauffé l'atmostphère tant le vent était glacial.
Mais ce fût un beau marathon, premier du nom intégralement dans la ville de Québec.
Pas plat non plus avec une p**ain de côte entre le 24 et le 27ème kilo, un faux-plat montant à l'arrivée et de nombreuses ondulations.
Mais un beau parcours, des spectateurs pas ultra nombreux mais présents partout.
Bref, je me suis fait plaisir.

Marathon ponctué par une douzaine de jours à sillonner la région : Québec, Montréal, Ottawa, Toronto, de nombreux sites superbes !

Comme d'hab, je prépare album photo, récit et vidéo dés que possible.

LienLe journal de l'événement (récit, photos, vidéo,...)Lien
Page 5 - Article N°437

Récits compétitions
Idx N°58703/10/2018 à 14:52 - Trail de la Digue : première !
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4 mois sans la moindre compétition, pour moi, c'est assez rare... la musique et ses exigences de travail ont un peu pris le pas sur ma logique sportive ces derniers temps.
Mais je n'ai pas lâché l'affaire, loin s'en faut.

Un trail local.
Une première édition.
On ne peut passer à côté... même si... même si, un peu plus de 44 bornes à deux semaines de mon prochain marathon à Québec, ce n'est pas très sérieux et physiquement un peu risqué.

Vous me connaissez maintenant un petit peu : la chaleur, je n'aime pas.
Les courses l'après-midi, ce n'est pas mon fort non plus.

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Donc, avec pas mal d'hésitations, j'ai fini par m'inscrire à cette première édition du trail de la Digue, de Nantes à Montaigu, en référence à la fameuse chanson paillarde "La digue du c.." TG
Annoncés, 44,5 km, 450 mètres de D+, un pic de température à 22°C.
A mes côtés, Denis et Didier que j'ai sportivement un peu snobé ces derniers temps.
J'avais retiré mon dossard, le N° 100, chez Sobhi Sport à Nantes vendredi en fin d'après-midi

8h50, samedi matin, direction Montaigu, en voiture, pour aller prendre la navette qui, à 10h nous amènera au point de départ à Pirmil.
Dans le complexe Maxime Bossis, je profiterai d'un petit café et d'une tranche de de brioche (vendéenne of course) généreusement offerts et bienvenus car un petit vent frais balaye le site.
Liliane, souriante et sympatique chauffeuse de bus, nous bercera au Shaka Ponk durant le trajet... que demande le peuple ?

Photo
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Vers 11h00, je rerouverai sur la zone de départ, Serge, Didier, Denis, Vincent, potes de course à pied et Traileurs du 44 pour certains.
Pointage obligatoire avant de rentrer dans le sas de départ : nous profitons de l'occase pour tchatcher avec les bénévoles et prendre une petite photo.
Je discuterai avec Fred, organisateur du Trail et Fines Herbes que j'avais couru l'an passé avec beaucoup de plaisir (cette année, pas possible, je courais le marathon d'Edimbourg).

Photo
Midi approche à grands pas.
Nous déposons notre sac d'effets personnels à la table d'entrée du sas.
Nous avons droit au briefing d'avant course puis à la chanson De Nantes à Montaigu, la digue, la digue...
Midi tapante, le départ est donné.
250 traileurs et traileuses quittent au petit trot Pirmil par les bords de Sèvre nantaise.

Mon objectif du jour, même si la distance est longue et agrémentée d'un peu de dénivellé, est de ne pas trop taper dans les réserves.
Rester sous les 5 heures me parait raisonnable.
Comme ça arrive lorsqu'on court groupé, le rythme de départ est supérieur à 10 km/h et le restera assez longtemps. Un poil trop rapide pour moi.
D'autant plus que ces premiers kilos en bord de Sèvre que je connais bien sont très roulants.
Je me laisse doucement distancer par mes potes.
Il faut attendre près de 9 kilomètres avant de se mesurer à la première grosse grimpette vers La Ramée.
Nous fanchissons alors le pont éponyme pour courir sur l'autre berge.

Premier petit problème de balisage au km 13 : il faut prendre une petite rue à gauche.
Devant nous, les coureurs filent tout droit.
Et nous sommes à deux doigts de faire pareil.
C'est le parrain de l'épreuve qui nous remets dans le droit chemin!

Photo
Ah oui, j'avais oublé le parrain : Erik Clavery, ce gars au bord de notre route, juste un peu champion du monde trail (entre autres), qui nous accompagnera jusqu'à l'arrivée.
Plusieurs fois, je le croiserai. Et à chaque fois, il m'encouragera. La classe !

A Saint-Fiacre, peu après le km 13, nous quittons la Sèvre Nantaise pour La Maine que nous rejoindrons après le premier ravitaillement.

Sucré, salé, diverses boissons plates ou gaseuzes, parfait ce rativo. Il y en aura 3 (au 26ème et 37ème) et tous seront identiques et bien pourvus. Chapeau !

So far, so good.
Le parcours est varié : quelques petites portions de route en guise de transition mais une grande majorité du tracé est en pleine nature avec des parties ombragées mais aussi et souvent à découvert : soleil et petit vent déshydratants, cette alliance néfaste à mes perfs.
Pas d'ennui, c'est déjà ça.

Km 17 Château-Thébaud, Pont Caffino : je connais cette partie du tracé, support tous les ans d'un weekend de course à pied au profit du Téléthon. Tiens, d'ailleurs, cette année, avec Didier, nous y serons... tyrolienne à l'arrivéééééééeeeee!!!!

Cette partie et de loin la plus accidéntée. Quelques belles grimpettes font gémir mes quadriceps. Mais globalement, ça roule.
Nous repassons sur l'autre rive de la Maine... ombre puis soleil dans le vignoble...

Km 23, craquage de slip... en bas d'une descente, Didier en point de mire, je suis bêtement, file tout droit. On se tape une belle côte avant de se faire rappeler par d'autres coureurs.
On redescend. 400 mètres et une belle bosse de plus au compteur que les copains, nous apercevons cette discrète rubalise qui nous indiquait de tourner à droite, AAArgh !
Ne soyons pas médisants, à ces deux détails près, le balisage était parfait.

Au km 25, une petite passerelle nous invite à rejoindre l'autre rive de la Maine. Passage super buccolique.
Km 26, ravitaillement à Aigrefeuille-sur-Maine.
Je m'emballe un peu dans les decentes caillouteuses... mon péché migon à moi TG
Ma cadence est bonne mais je suis conscient que je suis au dessus de mon objectif.
Tôt ou tard, il faudra que je ralentisse pour ne pas trop fatiguer la mécanique.
Je me donne jusqu'au ravito suivant maxi pour lâcher prise.

Km 29, Remouillé.
Une petite parenthèse sur les bénévoles, ceux qu'on oublie un peu et sans qui rien de tout celà ne serait. Ils sont un peu partout pour nous guider, assurer notre sécurité aux croisements routiers, aux ravitos, navette, arrivée, départ... toujours souriants, nous encourageant... je leur adresse un grand merci à chaque fois, c'est le moins que je puisse faire GHGHGH

Une partie routière. Une voiture arrive. Je me colle à droite pour laisser passer.
La voiture me serre et passe à un cheveu de ma chaussure. La trouille, du plat de la main, je donne une petite tape sur la carroserie, histoire de dire "faites gaffe bor... !".
Pas de bol, c'est un véhicule de l'organisation. Le chauffeur m'engeule en me disant de respecter la charte et de courrir à gauche. Ce que je fait conscient de mon erreur mais je n'apprécie pas vraiment sa façon de me le faire savoir. Un rappel amical aurait été plus cool.
Bref, on (je me mets dans le lot) n'est pas non plus que des abrutis. Un peu plus loin, le gars me rattape, reste à ma hauteur et me souhaite bon courage avec le sourire. Perso, je lui rends son sourire, tends la main et m'excuse doublement.

Km 33, nous quittons la Loire-Atlantique pour la Vendée.
Nous traversons la Maine à gué par une première chaussée glissante, nettoyage de pompe gratos.
Je commence à doubler les concurrents attardés du Trail de la Maine (18 km) dont le départ était donné à Aigrefeuille à 14h30. Aigrefeuille, où se situait l'unique barrière horaire pour le 44 km : 16h maxi soit 4 heures pour boucler les 26 premiers kilos.

Les kilomètres défilent. Je ressent une petite fatigue mais rien de grave.
Juste un rappel : il faut que je lève le pied.
Le dernier ravitaillement au km 37 est en haut d'une mini grimpette. Je fais un dernier effort, souris aux spectateurs qui m'encouragent.
Je repars en douceur. C'est maintenant qu'il faut que je lève le pied pour de vrai.
Deuxième chaussée pour passer la Maine et relaver mes pompes qui n'avaient pas eu le temps de sécher.

Photo
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40ème, je marche un peu car la fatigue se fait sentir. Denis passe devant.
Plus tard Didier, file lui aussi. Je suis bien tenté de m'accrocher.
Mais pas question de suivre. Je doit terminer ultra cool.
Nous sommes maintenant dans Montaigu. Ca ne sert plus à rien d'accélérer.
3ème mouillage de pompes peu avant le dernier kilo.
Je plonge les mains dans l'eau pour m'asperger le visage. Avec le soleil, je commence à souffrir. Depuis le 35ème, mon estomac commence à m'envoyer des signaux négatifs.
Au sortir de cette dernière chaussée, 3 mômes me tendent un petit goblet : "un p'tit punch, m'sieur ?".
"Vous allez me tuer les mômes !"
Allez, c'est la fin. Je ne me dégonfle pas. Cul-sec !
Ca brûle un peu la trachée mais ça passe.

Photo
Photo
Dans le Parc du Château, juste avant la dernière floppée de marches, Erik Clavery m'applaudit et me félicite. Super ce mec GH
Je grimpe les marches en quatrième vitesse, sous les applaudissements des spectateurs massés sur cette petite et dernière difficulté, preuve s'il en est que mes jambes sont loin d'être carbonisées.
Un petit détour pour contourner la mairie, je dépasse un petit groupe de traileuses qui ralentit pour pouvoir teminer groupé. L'arche finale est Place de l'Hôtel de Ville.
Dernier petit effort.
Didier et Denis m'attendent sur la ligne. Photo !

94ème sur 229, 4h46'57" pour, au final, 44,9 km.
Satisfait mais un peu plus rapide que ce que je visais.
Espérons ne pas le payer dans deux semaines.

Photo
L'arrivée, c'est un ravitaillement, un bon sandwich (que je mangerai un peu plus tard), un chouette maillot aux couleurs de l'épreuve.
Le tirage au sort nous a désigné avec Denis pour gagner un pass d'une semaine dans un centre de fitness l'Orange Bleue) à Boufféré.
Pas de bol, nous, on est nantais.
Plutôt que de jeter ce lot à la poubelle, nous en ferons cadeau aux deux bénévoles qui nous remettrons notre sac à la consigne.

Ensuite, une navette nous ramènera au complexe Maxime Bossis où nous pourrons prendre une bonne douche.
Impeccable.
A l'image de cette course. Vraiment pas grand chose à reprocher aux organisateurs.
Pour une première édition, ce fût une belle réussite.
La ballade était belle. Du départ à l'arrivée, tout le monde était aux petits soins pour nous.
J'ai pris beaucoup de plaisir sur ce tracé en ce samedi après-midi.
Mille merci et félicitations à toute l'équipe organisatrice.

Maintenant, place à la récupération.
Québec et son marathon m'attendent dans deux petites semaines.

LienLe site des Runners de la DigueLien
Page 5 - Article N°436

Marathon
Idx N°58407/08/2018 à 14:43 - Tokyo, enfin !
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Depuis 2016, je tente désespérément de courir un marathon au Japon.
2016, Kyoto, voyage annulé !
2017, Kyoto, plus de dossard !
2018, Tokyo, plus de dossard !

Alors, cette année, j'étais au taquet pour être dans les premiers à postuler.
A peine, les dossards proposés, je postais par mail ma demande à France Marathon.
Pas très optimiste la personne que j'ai eu au téléphone hier : beaucoup de demandes, peu de places. Seuls les tous premiers seront élus.

Et voilà, ce midi j'ai reçu ce mail :
"Nous vous confirmons votre participation au marathon de Tokyo 2019 - 1 dossard ; félicitations."
TFTFTF

Rendez-vous le 3 mars 2019 !

LienLe journal qui va bien pour suivre cet événementLien
Page 6 - Article N°435

Marathon
Idx N°58309/07/2018 à 11:37 - Edimbourg : la vidéo et tout et tout !
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Oui, j'ai bigrement tardé.
Mais, trop occupé avec les concerts des JAXS et une active vie personnelle, je n'en ai pas trouvé le temps.

Alors, enfin, voilà le récit complet en images et vidéo de mon 52ème marathon.
Edimbourg, capitale écossaise, qui rejoint le top des mes destinations préférées...



LienLe journal complet de l'événementLien
Page 6 - Article N°434

Marathon
Idx N°58103/06/2018 à 19:49 - Edimbourg : #52 !
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Statistiques

Voilà, de retour d'Edimbourg après une semaine intense en visites et, en prime, un 52ème marathon à mon palmarès.
Nous revenons fatiqués mais séduits par cette ville et ses environs.

Côté marathon, sans le moindre repos les jours précédents, cette course a été assez délicate.
J'ai dû gérer un départ laborieux avec des jambes en plomb et quelques coups de mou comme l'attestent les stats.
28 km de vent de face en bord de mer, c'était en bonus !
Mais, belle expérience et beau marathon.

Je prépare activement, album photos, vidéo et récit pour les jours à venir... mais avec mes turpitudes musicales du moment, il faudra patienter un peu !



LienLe journal de l'événementLien
Page 6 - Article N°433
Denis le 03/06/2018 à 22:03
500 places de gagné dans les 5 derniers km. Un vrai croque-mort ... SM

Récits compétitions
Idx N°58016/05/2018 à 09:09 - Course Nature Bouguenais : bien géré
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Toujours en recherche de bonnes sensations, à deux semaines du marathon d'Edimbourg, je me présentais à Bouguenais pour une énième participation à sa course nature format 20km.

J'avais pour objectif de faire un dernier grand fractionné avant mon 52ème marathon... en évitant de me faire mal tant musculairement que physiquement pour ne pas hypothéquer ce rendez-vous.
Connaissant le terrain, je comptais donc faire mes 20 bornes en 1h50 environ.

7°C, matinée assez nuageuse et plutôt fraîche.
Arrivé sur le parking de la Roche-Ballue vers 8h15, je me mettais en tenue directement pour aller sur le site de départ et ne pas avoir à refaire le long chemin en sens inverse.
En short, même avec un maillot manche longue, j'attaquais 20 minutes d'échauffement avec une petite chair de poule.

10 minutes avant le départ une grosse averse poussait la plupart des coureurs vers un abri... c'est sous le bâtiment de remise des dossards que je trouvais refuge et retrouvais le petit groupe des Traileurs du 44.

Dossard N°373 sur la poitrine, 9h00, j'étais déjà trempé avant que ne démarre la course.
Je me plaçais en première partie de peloton, prêt à faire un effort sur le début de course pour éviter les bouchons aux premiers goulots d’étranglement.
D'autant que ça part vite et fort car les concurrents du 11 km qui gonflent le peloton partent en même temps que nous.

Nouveauté cette année, une petite boucle ajoutée pour décanter le peloton.
Après quelques centaines de mètres seulement, nous attaquions notre première côte... celle qui remonte au parking, pas la plus courte.
Première série de marches pour redescendre, premier petit bouchon : je n'ose imaginer ce que ça a été pour le gros du peloton.
Jusque-là, le cardio en a pris un coup mais les jambes ont répondu et le genou n'a pas crié à l’agression au vu de ce départ un peu violent.

Nous partons ensuite sur la première boucle qui nous mènera au bourg de Bouguenais : chemins accidentés, boueux, glissants. Prudence.
Nous retournons sur la Roche-Ballue par les bords de Loire, partie ultra plate où je vais trouver mon rythme.
Entre temps, le ciel c'est dégagé. La pluie a cessé. Au soleil, il ferai presque chaud.
Ayant bien bu avant la course, je décide de faire l'impasse sur les deux ravitaillements prévus.

Au km 10, de retour sur le site de départ, avec la deuxième boucle, les choses vont se corser. Les coureurs du 11 km vont bifurquer pour rejoindre l'arrivée.
Partie boisée et très accidentée, les 4 kilomètres qui vont suivre vont être physiquement intenses : effort sublimé par un terrain boueux et, là encore, glissant.
Dans un raidillon, une corde vient à notre rescousse mais les pieds ont du mal à adhérer au sol.
Au sortir de cette portion, je réalise que j'ai laissé beaucoup d'énergie dans la bataille.
Sur les kilomètres suivants, très plats, ma cadence faiblira un peu.
Dépassé par quelques groupes de coureurs, je ne me laisserai pas démoraliser d'autant que, vers le 17ème, je retrouve un peu d'allant et reprends certains d'entre eux.

Le relief accidenté reprend ses droits au 18ème.
Je commence à peiner dans les côtes. Mais je les monte toutes en courant, pas question de capituler.

Un peu de plat pour retourner à la Roche-Ballue, quelques aspérités pour contourner le plan d'eau et je plonge sur la prairie au bout de laquelle se dresse l'arche d'arrivée.
Je fais un dernier effort pour distancer un concurrent.
Ligne franchie.
Chrono coupé.
1h48'42", parfait.

Attendu pour un barbecue avec Didier, Denis, Anthony et Aline, mes habituels complices de courses à pied qui eux sont allés courir ce matin là du côté de La Chapelle-s/Erdre, je ne vais pas traîner.
Je prends mon sac de course, file au ravito boire deux verres d'eau gazeuse et avaler quelques quartiers de pommes puis rejoins le parking.

Le bilan de la matinée est plutôt positif.
Sans me mettre trop dans le rouge, j'ai poussé un peu le moteur qui a bien répondu à la sollicitation.
Aucune douleur malgré de beaux efforts et quelques descentes qui ont rudement sollicité mes articulations, parfait.

Il ne me reste plus qu'à patienter jusqu’à mon prochain rendez-vous en terres écossaises.

LienSite de l'ALBLien
Page 6 - Article N°432

Marathon
Idx N°57522/04/2018 à 20:03 - Marathon de Nantes : so hot !
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Voila un 51ème marathon acquis de très haute lutte.

La faute à cette chaleur que je ne supporte pas mais alors pas du tout.
Au 25ème, mon estomac, coutumier du fait, à tiré le rideau.
Plus moyen de m'hydrater, frappé par une série de points de côté qui m'ont obligé à m'arrêter à plusieurs reprises, j'ai fini au moral.
4h29' au final.

Je vous raconterai tout ça en détail dans mon journal dans quelques jours.
Déplacement professionnel oblige, je serai à Bastia dés demain.
J’œuvrerai donc à mon retour en fin de semaine.

LienLe journal de l'événementLien
Page 6 - Article N°431

Récits compétitions
Idx N°57409/04/2018 à 11:06 - Super Trail Nantais : à l'eau !
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Que dire à l'issu d'une telle course ?
Peut-être que, par temps sec, le parcours doit être vraiment sympa.
Mais voilà, de sec, il n'y a rien eu ce dimanche.
Retour sur une galère qui n'en fût pas une... je m'explique GR

Inscription tardive, j'ai longtemps hésité entre un 30 bornes à Saint-Julien-de-Concelles, course que j'avais couru sous une chaleur surprenante l'année passée, et ce super trail nantais que je lorgne depuis des années mais qui tombe toujours mal dans mon planning.
Comme je préfère courir le matin, c'est le super trail qui l'a emporté.
Au programme 44 kilomètres sur des terres que je connais entre val de Chézine et vallée du Cens. Deux superbes cours d'eau dont nous allons largement profiter.

Dossard numéro 42, retiré la vaille au Décathlon près de chez moi, j'avais le privilège de quitter la maison à 8h15.
A 8h35, j'étais au stade de Procé à Nantes.
A 9h00, le départ était donné.
Petit peloton d'une centaine de trailers motivés.

Car motivé, il fallait l'être.
Ciel bâché, pluie abondante, seule une température douce, 11°C, pouvait faire office de bonne nouvelle.
La pluie constante depuis la veille laissait déjà présager quelques passages boueux.

Parlons objectif.
Pour moi, premier test sur du très long cette année.
Même si j'ai mangé plus de 320 kilomètres en mars et essayé de travailler vitesse et renforcement musculaire, je suis encore un peu léger physiquement.
Parcours pas forcément très plat et chemins difficiles ne favoriseront pas la tenue d'une cadence élevé.
Donc je pars en mode sortie longue avec pour objectif de ne pas trop m'exploser, marathon de Nantes dans deux semaines n'oublions pas.
Oui, je sais, ce n'est pas raisonnable PC

Donc, départ à 9h00.
Et là, je suis surpris par la vitesse du peloton.
Ça part vite et je me retrouve rapido en queue du dit peloton.
Je ne déroge pas à mon objectif, garde mon petit rythme.

Premier contact avec le vélo balai suite à un arrêt technique au deuxième kilo.
Je repars, double deux concurrents puis trois autres.
Deuxième contact avec le vélo balai un peu plus loin.
J'ai trop chaud avec mon vêtement de pluie. Je préfère encore être mouillé par la pluie que suer comme un malade.
Le temps de mettre ma veste dans mon sac à dos, je repars dernier.

Ces premiers kilos le long du val de Chézine sont plutôt plats mais, chaque fois que nous quittons le chemin principal pour emprunter des traces plus en amont, c'est la gadoue. Ça patine sérieusement.
Courir en maintenant son équilibre sera le défi du jour.
En attendant, je crame beaucoup d'énergie pour un faible rendement CF

Autre défi, le balisage. Un peu de rubalise et beaucoup de marquage au sol au plâtre.
Marquage au sol rincé par les intempéries qui quelquefois me fera m'interroger sur le chemin à suivre.

Je ne compte ni les marres d'eau, ni les champs de boue où mes pompes font tellement ventouse que j'ai peur d'en laisser une enfouie à chaque traversée.
Premier clou de la matinée, km 6, le passage sous le boulevard Marcel Paul.
La Chézine déborde, j'ai de l'eau au dessus du genou. Glaciale !

Le peloton s'est très vite étiré.
Je ne rattrape que six coureurs avant d'arriver au ravitaillement situé au 11ème kilomètre dans le parc de la Gournerie.
1h11 pour 11 kilos, c'est dire.
Mais je m'en moque. Je suis bien physiquement. Et ce n'est que le premier quart de la course.

Quittant la Gournerie, nous filons sur Sautron.
De la boue à n'en plus finir. J'évite de justesse deux belles chutes dans des descentes.
La gadoue omniprésente rend la progression difficile. Certaines buttes sont vraiment délicates à grimper.
J'accroche deux concurrents qui, à la faveur d'une pause, m'ont permis de les rattraper.
J'oublie quelques temps ma solitude pour tchatcher un peu.
Mais ils ont une cadence un peu supérieure à la mienne et je me résigne à les laisser me distancer. Je ne veux pas me mettre dans le rouge.

Aux abords du 18ème, alors que nous franchissons la rocade qui mène à St-Nazaire, une belle ligne droite sur du bitume, qui fait du bien au moral, met dans mon champs de vision un petit groupe de coureurs.
Je n'accélère pas mais je me rapproche doucement.
Mon départ prudent et mon rythme de sénateur vont finir par payer.
Jusqu'au bout, je vais grappiller régulièrement quelques places au classement.

Les Naudières, la Chapelle Bon Garand, quelques passages dans l'eau plus tard, nous rejoignons la vallée du Cens. Les traces en sous bois sont encore plus boueuses et glissantes. Ajoutez-y des racines et de la roche et vous comprendrez qu'il fallait avoir les yeux rivés au sol pour tenir debout.

Au ravitaillement du 26ème, je ne traine pas trop, peur de me refroidir.
Je suis trempé mais la pluie n'est plus qu'un faible crachin qui va finir par s'arrêter pour nous permettre de faire 'au sec' les 10 derniers kilomètres.

34ème, 3ème et dernier ravito.
Pareil, je ne traîne pas trop.
La fatigue commence à se faire sentir.
Le ras le bol de la boue commence à s'installer.
Vu la météo, pas de spectateurs sur le parcours, pas de joggeurs du dimanche, ni de VTT, à peine quelques promeneurs de chien.
Seuls les bénévoles placés aux abords des routes pour assurer notre sécurité nous apporterons sourire et encouragement.

Mais, voilà, nous sommes de retour sur le val de Chézine. Ça sent la fin.
Au 36ème, nouveau passage sous le boulevard Marcel Paul.
La Chézine a profité de notre ballade de 30 bornes pour gonfler encre un peu plus.
De l'eau à mi-cuisse, je suis frigorifié. Fait rare, j'ai froid aux pieds.

Malgré la fatigue, j'avance, ponctue philosophiquement chaque nouveau bourbier de quelques invectives de mon cru.
Le parc de Procé refait son apparition.
Le stade est en haut d'une petite colline que nous gravirons à la faveur d'un beau petit détour dans le parc.
Un dernier tour de stade, quasi désert, et je franchis avec soulagement la non ligne d'arrivée. Je ne sais même pas vraiment où couper mon chrono. Je pense que c'est l'arche qui faisait office de ligne d'arrivée.

Je récupère mon t-shirt de finisher.
Je suis mouillé, ultra boueux, fatigué. J'ai froid.
Je ne m'occupe même pas de chercher mon classement ni de trouver quelqu'un à qui parler.
Presque tout le monde déserte le site, seuls les organisateurs sont encore là.

Retour à la maison au plus vite pour une douche bien chaude et une sieste d'enfer.
Je ne consulterai mon classement qu'en fin d'après-midi.
43,170 km bouclés en 4h47'35", je m'affiche en 76ème place sur 107 participants.

Le bilan reste positif.
Pour cette première longue sortie, même si les conditions étaient très, très, très difficiles, j'ai physiquement tenu et moralement bien abordé mon sujet.
Reste à espérer que je n'aurai pas trop puisé dans les réserves pour mon 9ème rendez-vous avec le marathon de Nantes dans deux semaines.

LienSite des Foulées nantaisesLien
Page 6 - Article N°430
Denis le 09/04/2018 à 11:47
Bravo JC GH. Ce sont mes sentiers d'entraînement. Je confirme que, depuis la fin 2017, les abords du boulevard Marcel Paul sont redoutables. Bonne récupération. Quel est ton objectif, en dehors de prendre du plaisir, sur le marathon de Nantes ?
URéponse de fondjede le 09/04/2018 à 12:06
Merci Denis,

Pas de grosses ambitions sur ce marathon de Nantes.
Tout dépendra de ma récupération et de la forme du jour mais je viserai, au mieux, un 4h00.
J'ai encore du boulot pour retrouver mon rythme de croisière.

Jack le 14/04/2018 à 10:59
Félicitations JC !!! Non, non je ne t'oublie pas et je ne me lasse pas de lire tes récits de courses qui sont toujours aussi agréables à visionner.
Je suis toujours impressionné de voir que tu tiens la forme et que tu sois capable d’enchaîner toutes ses courses.GHGHGH
Bonne récupération à toi et bonne chance à Nantes pour ton énième marathon.
Jack (qui vient de reprendre après 3 longs mois d'arrêt, arthrose genou)
Au plaisir de se croiser, je l'espère !

Récits compétitions
Idx N°57301/04/2018 à 18:31 - AtlantiSport : pas prévu !
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Parti en weekend à La Rochelle pour voir mon fiston donner ses deux premiers concerts, je n'avais pas prévu de courir ce classique trail à la maison.
Mais voilà, un concert sur les deux a été annulé.
Le vendredi soir, aux Enfants du Rock, café sur le vieux port, nous avons assisté à une superbe prestation musicale de Télécab, tribute to téléphone, groupe dans lequel Gaël donne de la voix tout en jouant de la basse.
Comme la météo n'était pas annocée comme propice à la ballade ce dimanche, nous sommes rentrés le samedi soir.

Photo
Dimanche matin, à 11h, je portais donc le dossard N°946 pour ma deuxième course de l'année.
Course pas prévue... précédée d'une semaine assez musclée sur le plan de l'entrainement.
4 séances de course à pied avec renforcement musculaire, grosse série de fractionnés et 2 intenses séances de natation, pas fait pour être en pleine forme au départ.
Conscient de la fatigue générée par tous ces efforts, je n'avais pour objectif que de faire une grosses sortie avec au milieu une belle accélération.

Parti de la maison en trottinant, je faisais 3,5 km d'échauffement pour arriver quelques minutes avant le départ sur le parking de la zone commerciale d'Atlantis.
Un petit coucou à Pierre, Franck, Lydie...
Et hop, 11h05, le départ était donné.
Cette année les coureurs du 9 km étaient partis 5 minutes avant nous.
Du coup, n'ayant que des participants aux 18 km, le rythme au démarrage était moin violent. Impeccable pour moi.

Objectif, 12 km/h.
Ce n'est pas franchement rapide mais, pas encore rassuré quant à la capacité de mon genou à tenir l'effort, je préférai ne pas trop tirer sur la machine.
Beaucoup me doublent sur les premiers kilos mais je reste fidèle à mon rythme.
Je connais le parcours et ses difficultés : la fin est agrémentée de belles patates qu'il faudra savoir avaler.

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La météo est bonne : éclaircies, du vent mais pas trop et température un peu fraîche, conditions idéales.

Solvardière, Carrière, Bois-Jo, ça ondule pas mal mais je gère bien mon effort.
La transition vers Tougas est plus plate : là, quelques buttes nous attendent. Idem, je gère.

Le retour vers la Carrière est le moment que j'attends.
14 bons kilos sont déjà derrière nous. J'ai quelques secondes d'avance sur mon objectif, pas de quoi pavoiser mais bon, c'est déjà ça.
Je suis annoncé 59ème... et me fais doubler dans la foulée... argh CR
Je fais l'impasse sur les ravitaillements pour ne pas casser ma cadence.
Les côtes, dans ce coin, je les connais par coeur.

Le rythme est toujours régulier. Le physique suit.
Juste un petit rappel de mon genou dans un descente un peu abrupte mais rien de grave.
Je gravis chaque ondulation avec assez de facilité et, petit à petit, remonte trois concurrents.

Retour à Atlantis.
Je prends deux coureurs devant moi comme cible pour sprinter.
Je les grille quelques mètres avant l'arrivée.
Chrono figé à 1h29'10".
55ème sur 263.
Nickel !

Je file récupérer ma récompense, un tour de cou.
Sans traîner je repars en trottinant direction la maison.
Au final, j'aurai mangé 25 kilomètres ce dimanche et fait un beau fractionnée de 18 km.
Plutôt satisfait.
J'ai encore besoin de progresser pour retrouver une forme olympique mais je suis sur la bonne voie.

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Page 6 - Article N°429

Idx N°57214/03/2018 à 13:29 - Saumurban trail : bon dimanche...
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Fin 2017, mon genou droit à dit STOOOP !
Après une coupure de 6 semaines et une reprise hivernale bien difficile, en ce début mars, j'étais vraiment à cours de forme.
Raison pour laquelle, vous connaissez ma sagesse légendaire, j'avais fait l'impasse sur de belles courses dont le semi-marathon d'Orvault de ce dimanche 11 mars.
Fin du chapitre sagesse.

En ce dimanche onze mars, donc, je me levais à 4h20 pour aller à Saumur...
... en passant par la Chapelle-sur-Erdre, récupérer mon Didier,
... en passant par Angers pour compléter ce covoiturage avec Mika et Monica,
... pour aller ... pour aller... allons, un petit effort de réflexion pour une fois...
... pour aller courir le Saumurban trail dans sa version la plus longue, à savoir 35 km.
Pas facile de comprendre la psychologie du coureur en mal de confiance.

Pourquoi ai-je cédé à ce Didier Messmer ? aucune idée.
Je préfère ne pas m'en souvenir.

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Toujours est-il qu'à 8h45, j'avais mon premier dossard sur la poitrine, le N°3073.

On déconne mais là, je n'étais pas vraiment fier.
Affronter 35 bornes avec 500 mètres de D+ alors qu'on n'a pas dépassé les 20 bornes depuis plus de trois mois, avec un genou convalescent qui plus est, ce n'est pas fait pour rassurer.
Mais ça n'empêche pas d'avoir le moral et d'être de bonne humeur.
Ma première course de l'année : ça me manquait.

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8h45, nous partons - en queue de peloton - de l'école de cavalerie de Saumur.
La suite ne sera qu'une succession de sites superbes, de panoramas sublimes et de bons moments ponctués de belles rencontres.
Par contre, on aura mangé des marches, des côtes, de la boue.
Mais la météo était de notre côté avec, certes un peu de vent, mais un soleil à peine voilé par quelques nuages.

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Durant 35 kilomètres nous allons donc aller de surprise en surprise et découvrir ce patrimoine saumurois que j'avais déjà aperçu l'année passée lors du premier marathon de la Loire.
Difficile de tout citer tellement nous avons vu de belles choses.
Des châteaux tout plein avec de belles propriétés.
Des caves, avec dégustation of course : moi je ne trinquerai une seule fois avec Laure pour honorer son bel effort du jour. Un petit shot de vin rouge au km 33, pas de risque de défaillance.
Le musée des blindés (km 7), la maison des Compagnons du Devoir (Km10), école Nationale d'équitation, Cadre Noir et son grand manège, golf, parc Forest Adventure, incroyable tout ce que nous avons traversé avec ravissement.

En résumé un tracé génial qui alternera ville et nature et ne nous laissera que de belles images en têtes.
Tracé que j'aurai couru à faible allure pour ne pas risquer de casser ma fragile mécanique mais intégralement en compagnie de Didier et Mika.
Nous aurons déconné du début à la fin ajoutant - au fil des kilomètres - à notre petit groupe Laure puis Isabelle.
Laure, inscrite sur le 26 km, que nous convaincrons de boucler le 35 en notre compagnie.
Isabelle que nous doublerons maintes fois grâce à nos arrêts ravitaillement à rallonge.

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Parmi les bons moments du jours, le bain de mousse concocté par les sapeurs pompiers aux abords de leur caserne vers le km 14, le passage au château de Marson vers le km25, les ravitaillements au Grand manège, au Forest Adventure où nous vendangerons de longues minutes pour partager un moment de grand n'importe quoi avec les bénévoles.
Des bénévoles que nous ne remercierons jamais assez tant ils ont été sympa et disponibles à écouter nos âneries du début à la fin... pas facile de nous supporter CR

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Durant ces 35 bornes, fil rouge de nos errances intellectuelles, un "Bon dimanche" lâché à tout va à tous les spectateurs, bénévoles et autres malheureux qui auront croisé notre divagante route. D'abord par Mika, puis par tout le groupe.
"Bon dimanche" que Didier aura la généreuse idée de ponctuer (de manière quasi systématique, pas sûr qu'il en ai loupé un) par un "sous vos applaudissements" qui nous fera marrer jusqu'à plus soif.
Quant aux applaudissements, quand il n'y en avait pas, il suffisait de les demander, merci Mika RP

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Peu importe le chrono dans ces conditions mais nous mettrons plus de 4h17 à boucler cette belle course.
Pas loin des derniers mais pas loin d'être ceux qui se sont le plus amusés sur ce trail.

Didier m'avait vanté les qualités de cette course. Point de mensonge l'ami, c'était super.
Belle organisation, beau parcours, énooooormes félicitations aux organisateurs de cet événement dont je ferai la promotion c'est certain.

Comment terminer ce compte rendu, fastoche : un dernier "Bon dimanche.... sous vos applaudissements" que nous avons mérités, non ?

Page 6 - Article N°428
mika le 14/03/2018 à 19:00
magnifique CR, on a l'impression de rechaussé les baskets :-)
Merci Jean claude de m'avoir supporté, jespere qu'on pourra revivre un si bon moment de partage et de rencontres ensemble.
Un CR tout en bonne humeur qui montre que vous semblez avoir passé une belle matinée sur nos terres saumuroises... ce qui justifie amplement les centaines d'heures à préparer l'événement.
Le traceur des parcours
Antoine GRUAU (trailer saumurois) le 21/05/2018 à 20:16
Bonjour,

Mille Merci pour votre compte rendu plein de bonne humeur, de fun et d'éloges pour notre course phare du mois de Mars en terre saumuroise. Cette épreuve fonctionne grâce à vous coureurs, athlètes amateurs ou chevronnés et également grâce aux bénévoles qui oeuvrent dans l'ombre.

Continuez à vous régaler sur les sentiers hexagonaux ou sur d'autres fuseaux !