Ce matin, au programme, une sortie de 26 km pour marquer la moitié de ma préparation marathon. J'aurai dû courir un semi mais c'est le marathon de Nantes qui était au calendrier local. En contrepartie, je me suis inscrit aux 20 km de la Brosse le WE prochain.
Ce matin, j'ai donc chaussé mes running en me disant que j'allais aller traîner du côté de cette course pour me changer les idées et voir si le nouveau parcours, plus urbain, était plus attractif, si l'organisation tenait mieux la route que l'année dernière (lire mon récit 2008).
Côté météo, pluie et vent au programme
15 petits km plus loin, j'aborde le pont Anne de Bretagne et vois le premier boucler le 40^ème km. Les écarts entre les poursuivants sont conséquents.
Je prends ensuite le parcours à l'envers à la rencontre de copains à soutenir.
Un peu de spectateurs malgré la pluie, pas une grosse ambiance tout de même.
C'est vrai que le parcours empreinte maintenant le coeur de la ville, ce qui le rend plus agréable.
Je fais la bise à Maélane puis Marienbaz, chaudement emmitoufflées pour assurer leur rôle de bénévole.
Un peu plus loin, je retrouve Sylvain qui marche, la mine des mauvais jours, crampes depuis le 27^ème, moral dans les chaussettes. Quelques mots de réconfort et je continue mon chemin.
Je croise le ballon des 3h00 puis celui des 3h15 et, pas loin derrière, je vois Renaud qui, lui, est parti pour un bon chrono. Mes encouragements n'auront pas d'écho : concentré le bonhomme !
Au 36^ème, je rencontre Marc, collègue qui était à NY en 2002 à mes côtés. Lui aussi, tient bien le rythme.
Moi, j'ai déjà 19km au compteur et il ne faut pas que j'oublie que je rentre à pied à la maison. Donc je rebrousse chemin et décide d'accompagner Marc jusqu'au 40^ème.
Je 'rentre' donc dans la course pour ces 6 derniers kilos. Marc est au top. Nous tenons à plus de 12 km/h tout en discutant.
Marc me confirme que le parcours est globalement plus attrayant qu'avant. Il y a plus de spectateurs sur la fin malgré cette petite pluie persistante.
Au 40^ème, je n'aurai pas le coeur d'abandonner mon pote. Tant pis, j'irai jusqu'au bout et laisserai Marc à 100 mètres de l'arrivée qu'il franchira en 3h23'
Je note que, cette année, une médaille est remise à chaque arrivant (ma grosse déception de l'année dernière). Mais seuls les 1000 premiers incrits auront droit au T-shirt technique, un peu mesquin tout de même
Le marathon de Nantes semble donc en gros progrés : prés de 2000 concurrents cette année, c'est un signe.

Moi, j'ai là 25 km à ma Garmin. Je rentrerai donc plus calment à la maison.
Au final, 33 km parcourrus sans difficulté.
A 4 semaines du marathon du Mont Saint-Michel, c'est plutôt encourageant.
Les deux semaines à venir seront un peu perturbées par un agenda personnel chargé mais je vais essayer de gérer tout celà au mieux.

Ma préparation pour le Mt Saint-Michel, c'est ici

Ce soir, je suis allé fureter du côté du site du SNAC à la recherche des photos promises des Foulées de Saint-Sébastien courues dimanche dernier.
J'y ai trouvé avec bonheur 4 photos où je figure.
Et sur 2 d'entres elles, celles prises au 8^ème Km et à l'arrivée lors de mon sprint final, j'ai pu admirer ma tronche en pleine... souffrance. Pas bô à voir
J'aurai pû les garder pour moi tout seul mais à quoi bon.
Quand je dis que je souffre sur un 10 bornes, c'est pas des bobards
Sincèrement, je ne sais pas laquelle des deux était la plus moche.
J'ai choisi celle de l'arrivée, car au fond, avec le dosser 706 et le short bleu, figure le coureur qui m'a 'coaché' pendant quelques kilomètres m'épargnant ainsi une fin encore plus ... atroce

PS : éloignez les âmes sensibles, ceci n'est pas une promo pour la course à pied.

8h43 : j'allume la télé.
Comme tous les ans, je me délecte à regarder le départ du marathon de Paris. Je l'ai déjà couru 2 fois et ,à chaque départ, derrière mon poste, je vibre comme si j'y étais.
Pour l'occasion, je me suis fait représenter par mon Double. Un collègue et quelques amis de mon club y sont aussi. Je regarde les bombes dévaller les Champs suivies par un flot imposant d'anonymes tous aussi méritants les uns que les autres.
Les premiers passent les 10 kilos en 29'51"
Moi, aujourd'hui, c'est justement 10 km que je vais devoir courir à la vitesse de la lumière... enfin presque
Je quitte donc mon confort télévisuel pour me rendre à St-Sébastien-sur-Loire et m'aligner sur les Foulées du même nom, un 10 Km accroché à mon calendrier dans le cadre de ma préparation pour le marathon du Mont St-Michel du 17 mai.
Frisquet, 8°C seulement. Je retire mon dossard, le N°584, et débute mon échauffement bien couvert.
5 minutes avant le départ, je retrouve Bertrand, copain de mon club dans le sas de départ.
Ma stratégie est diaboliquement simple : pour approcher les 40 minutes, voire ne pas les dépasser, je pars à fond et je vois si je tiens
2 ans presque que je n'ai pas couru un 10 km, distance que je n'apprécie guère car trop 'violente' pour mon organisme.
11h00, c'est parti. Le peloton de presque 600 coureurs est plutôt dense.
Premier kilo en 3'45", je tiens parole (je suis parti aussi vite que possible).
Sur le deuxième, gros ralentissement car, retournant sur les bords de Loire par une portion étroite, je suis scotché dans un groupe un peu plus 'lent'. Ca râle derrière !
Je finis par me faufiller et dépasser le bouchon pour relancer. Je n'ai pas d'excellentes sensations sur ces premiers kilos : j'ai l'impression de trop forcer pour tenir le rythme. Pas grave, j'avais dit 'à fond', je continue.
19'45" à mi-course, je sens que que le plus dur reste à venir et que je vais avoir du mal à tenir.
C'est à ce moment qu'un vétéran (impossible de lui donner un age, mais un gars bien plus vieux que moi) me dit : "Arrête de faire le yoyo, tu vas t'exploser. Reste avec moi, j'te donne la cadence".
Il a raison le bougre, j'ai du mal à gérer mon effort et j'oscille entre le trop vite et le moins vite sans arriver à trouver un rythme qui me convient.
Alors, je me colle à ses baskets. Et c'est vrai que je finis par récupèrer tout en gardant une bonne cadence. Nous finissons par dépasser la 2ème féminine que j'avais en point de mire depuis le début mais qui gardait facilement ses distances. Ah, ces filles !
Finalement, au 8ème, j'accélère et abandonne mon mentor que je remercierai chaleureusement après l'arrivée
Je passe le 9ème en 35'45", je n'ai que 4'15" pour rallier l'arrivée et rester sous les 40'.
J'ai mal aux cuisses,: ça tire, ça chauffe
Le portique final, la ligne, je coupe mon Garmin.
Verdict : 39'41" ! Temps officiel confirmé cet après-midi sur le site du SNAC.
162ème sur 587 et 43ème V1. J'aurai tenu à 15,1 Km/h de moyenne soit 3'58" au kilomètre.
Moins de 4 sur 10
Un de mes fistons me ramènerai une telle note, je le gronderai sans commune mesure.
Mais moi, ça suffit à mon bonheur.
C'est tout juste la 2ème fois que je tombe la barre des 40', aujourd'hui à 7 secondes seulement de ma meilleure performance sur cette distance.
Fin de ma 2ème semaine de préparation marathon.
So far, so good !

Ma prépa pour le Mont Saint-Michel

Ce matin, j'avais rendez-vous avec ma première 'vraie' compétition de l'année.
Non pas que Valence compte pour du beurre mais, pour ce marathon 'touristique', je n'avais aucune visée chronométrique, juste le besoin de prendre du plaisir après un hiver inhabituellement rude pour mon physique vieillisant.
4 semaines après ce super moment, comme aucun copain de club ne semblait vouloir inscrire cette destination à son calendrier, il n'était pas dans mes intentions de faire un effort en compétition : en effet, depuis, je n'ai pas vraiment fait de travail trés poussé me contentant de 'relancer' la machine en prévision du marathon du Mont Saint-Michel dont j'entâmerai la préparation dés la semaine prochaîne.
Il aura juste fallu que mes collègues me proposent le 4^ème siège vide de leur auto. Vous me connaissez, je ne sais pas dire non. Départ donc ce matin 8h40 avec Marc, Christian et Hervé : La Poste et France Telecom en action
Une petite gelée accompagnée d'un brouillard à couper au couteau, voilà pour la météo au départ.
50 minutes et 65 Km plus loin, tout juste quelques degrés en plus, toujours le brouillard et un petit vent glacial.
Pas vraiment en avance, le temps de retirer nos puces et dossards (N°322 pour moi), de retrouver Renaud (vous savez un fan de Jean-louis Aubert, comme moi et Isabelle) pour quelques mots échangés, moins de 10 minutes d'échauffement plus tard, nous pointerons sur la ligne de départ avec short (brrrrr) mais manches longues et gants.
Pas d'objectif précis faute de référence en ce début d'année : ma dernière 'vraie' compétition date déjà de plus de 6 mois (semi-marathon de Rezé et mon record sur la distance).
Je me fixe quand même un ambitieux 'moins de 1h35' : plus, je prendrai un coup de vieux au moral
Alors, je pars résolument 'vite' : en premier lieu pour me désengluer du peloton trés dense sur le départ, ensuite pour 'voir' ce que j'ai dans le buffet.
3'59" au 1^er kilo puis 4'01" pour passer au 5^ème en 20'03", je sais pertinemment que je suis au delà de mes possibilités du moment mais j'ai les jambes qui vont bien alors, même si je doute du final mais agréablement surpris, j'en profite.
Jusqu'au 10^ème, mis à part un arrêt boisson trop fraîche au 9^ème et une relance difficile, j'ai tenu : 40'37", du bon Fondjede !
Ensuite, à l'attaque du 2^ème tour, j'ai dû lâcher du lest.
Le groupe dans lequel je m'accrochais m'a petit à petit distancé. Mes temps au kilo se sont allongés. C'est là que la tête à pris le relais.
Un instant à l'esprit, j'ai vite abandonné l'idée de 'décrocher' et de finir en douceur. Même si je commencais à me faire dépassser par quelques dizaines de coureurs, pas question de m'écrouler.
Alors, j'ai donné tout ce que j'ai pu pour rester en dessous des 4'30" au km. Ces derniers kilomètres m'ont parus bien longs.
Je n'ai pas pu m'accrocher à la 2^ème féminine qui finira quelques centaines de mètres devant mais, sur les deux derniers kilomètres, j'ai trouvé suffisamment de ressources pour accélérer et redoubler quelques concurrents.
Je coupe mon chrono sur la ligne et boucle la distance en 1h28'30" (moyenne de 14.3 Km/h et 4'11"/km). Essoufflé, usé mais pas exténué, je récupèrerai assez vite peut-être revigoré par la satisfaction d'avoir réalisé une belle course.
Il fait toujours aussi froid et le brouillard est toujours là : j'enfilerai mon T-shirt technique (récompense de qualité) par dessus ma tenue de course pour attendre mes collègues en me les gelant pour de vrai.
Retour à la maison à 14 heures, satisfait.
J'attends à l'heure qu'il est les résultats officiels pas encore publiés curieux de voir mon classement.

Avec ce semi réussi (ma 2^ème meilleure perf sur la distance sans préparation spécifique), je fais donc une petite provision d'énérgie positive.
Energie dont je vais avoir grand besoin pour attaquer dés mardi ma préparation pour le marathon du Mont Saint-Michel, nouveau rendez-vous de choix avec mon Double.

PS : ce matin, avait lieu le marathon de Rome auquel j'avais participé en 2007. Je n'ai pas manqué d'avoir une pensée pour Philippe (alias Symphorien sur CLM) en espérant qu'il a réalisé là-bas une bonne perf et passé un bon moment.

Site de l'ECSO 44

Temps record !
Moins de 3 jours pour produire ma vidéo sur le marathon de Valence, le métier commence à rentrer.
Toujours le même dilemme : trouver une musique , un thème, un rythme, donner envie...
En tout cas, je me suis encore bien fait plaisir à rassembler, sélectionner, assembler tous ces moments que j'ai vécus.
Je vous les soumets une fois encore en espérant vous faire partager ce que j'ai apprécié pendant cette course, même si tout n'y est pas.

Le diplôme officiel est lui aussi disponible pour compléter le lot de réjouissances qui accompagne chacun de mes périples sur 42 Km.

Ma récupération continue à bien se passer : piscine et vélo me permettent d'assouvir ma soif d'exercice sans user la mécanique.

Bonne séance !



Le poids des mots et le choc des photos, c'est ici !

Traditionnel exercice d'après marathon, j'ai passé mes soirées de cette semaine à trier photos et souvenirs pour vous les restituer.
Le texte est long mais les photos, seules, ne sauraient tout dire.
Alors, j'ai péché par excès !
Déluge de mots, de verbes et d'enthousiasme pour un album photo non moins conséquent : et encore, j'ai essayé de freiner mes ardeurs.
Voilà, tout est en ligne, soumis à vos yeux dans lesquels j'espère voir luire d'une petite étincelle d'envie et pas d'ennui... modeste le Fondjede, non ?

Prochaîne étape, la vidéo.

Côté récupération, là, c'est plutôt incroyable.
Un peu comme si ce marathon était le vrai déclencheur de ma saison.
Peu de fatigue lundi, rien le mardi. C'est vrai que je l'ai couru en sous régime ce marathon mais quand-même !
Dés mercredi, j'ai ressorti mon vélo pour aller bosser, enfilé mon maillot de bain pour faire de la récup active en piscine.
En forme jeudi, en sus de la bicyclette, je me suis offert 6 km de footing.
Toujours en forme, vélo et piscine vendredi.
Et ce matin, j'avais le feu aux semelles
Pas moyen de courir lentement, j'ai dû à plusieurs reprises ralentir pour garder une allure lente, freiner mon envie irresistible de faire une longue sortie pour me limiter à moins de 10 km.
Prudence, prudence, me dit une petite voix raisonnable

Je me donne encore une bonne semaine sans forcer puis je relancerai la machine. Je vais lorgner du côté du calendrier des courses locales pour me faire un petit programme sympa avant de tourner les yeux vers le Mont Saint-Michel.

Le récit et l'album photos 'Valence 2009' sont ici

Déjà de retour aprés un séjour vraiment superbe.
Comme à Athènes, nous n'avons pas sû être sages et avons marché, visité, exploré les rues de Valence pendant 3 jours.
Contrairement à Athènes, partant du principe que fatigué et mal préparé ce n'était pas la peine de m'exploser, j'ai bien géré la distance : un départ en douceur dans la fraîcheur du matin, un petit negative split sur le 2ème semi alors que la chaleur commençait à devenir pesante pour moi.
Je voulais tout de même rester sous les 4 heures : avec un petit 3h53', la mission est bien remplie.
Un bilan ultra positif : beaucoup de photos, de séquences vidéo, de rencontres et de tchatches, une belle ambiance seront les ingrédients de mon futur récit, de mon futur album et de ma future vidéo.
Pas fini mon marathon
La page spéciale Valence 2009

Tout juste arrivés et déjà mal aux yeux (en attendant d'avoir mal aux gambettes) !!
Atterrissage tard cette nuit, métro et premier petit dodo dans une auberge de jeunesse plutôt clean (pas comme à Dublin).
Ce matin, un grand soleil nous attendait pour notre première sortie.
Nous avons pris possession de notre appart : pas mal du tout et proche du centre de Valence où nous nous sommes balladés cet après-midi.
Obligés de sortir les lunettes de soleil, avec cette température douce, limite galère
Demain, pas de programme encore établi : on décidera ce soir au restau avec mon Double.
Seule certitude, en fin d'après-midi nous irons retirer nos dossards.
A suivre...
La Page dédiée à l'événement

Ce matin, je partais pour la dernière fois à l'assaut d'une longue sortie. Dernier test sur 18 km de mon niveau d'endurance en cette fin de préparation, en admettant que je puisse parler de préparation. Il faisait froid mais le soleil avait décidé de m'accompagner. Une première heure à la ramasse, sans punch ni bonne sensation malgré une petite vitesse, un cardio bien trop haut pour un si modeste niveau
Heureusement, la mécanique s'est un peu dérouillée sur la fin du parcours. Globalement, je termine sur un bilan pas trés encourageant : entre météo peu clémente et pépin lombaire, je suis resté en panne de rythme et de plaisir malgré une volonté d'acier et un moral fluctuant mais pas trop pessimiste.
Ce marathon se présentera sous le signe de la promenade. Cette fois encore, je ferai ce que je pourrai mais je n'oublierai pas d'en profiter un max.
Un dernier tour sur le site du marathon et j'ai pu récupérer mon numéro de dossard : je trottinerai donc avec le N°1199.

Ce soir, nous avons reçu avec plaisir en notre demeure l'ami Oliv (CLM) et toute sa petite famille de passage dans la région nantaise : après notre soirée raclette à Chamonix l'année dernière, nous avons avec beaucoup de plaisir ressorti nos souvenirs de marathon communs et parlé des courses à venir (Cheverny pour lui, le Mont Saint-Michel pour moi).
Aprés la visite de Symphorien, il y a peu, c'est la deuxième fois qu'un ami CLM est de passage à la maison. Plutôt chouette

Voilà, demain, un petit footing léger et nous préparerons nos valises... pour de nouvelles aventures hispaniques... à suivre au travers de ce blog.

Le journal de ma 'préparation'

Encore un dimanche pluvieux mais, pour moi, fini le petit nuage noir qui stationnait au dessus de ma tête depuis le début de l'année.
Je ne voudrai pas crier victoire trop vite mais, depuis quelques jours, ça va mieux.
Anti-inflamatoires et décontractant musculaire ont chassé la douleur, le kiné et ses manipulations magiques m'ont redonné un peu de souplesse.
Depuis mercredi, j'ai donc rechaussé les baskets. J'ai enchaîné quelques sorties assez lentes. N'empêche, le cardio est quand même monté assez haut pour me rappeler que j'avais un peu perdu le rythme.
Ce matin, malgré des cuisses fatiguées, à deux semaines du marathon de Valence, je voulais faire une grande sortie pour tester mes capacités à tenir longtemps.
Température hivernale, -2°C, pour une sortie de plus de deux heures sous les nuages : dur car mes cuisses étaient vraiment fatiguées mais pas galère car je n'ai pas trouvé le temps long. Donc plutôt rassuré.
Je vais mettre à profit ma dernière semaine de préparation pour peaufiner exclusivement mon endurance.

Envie de changement, parlons-en !
Mon épisode lombaire passé, j'avais envie de faire table rase histoire de tourner la page.
Hier, j'ai décidé de changer le bandeau supérieur de mon site. Le précédent datait de juillet 2006 et me paraissait un peu fade.
Je voulais donner une image plus colorée et plus vivante de mon existence de marathonien.
Qu'en pensez-vous ?

Ce matin aussi, j'avais envie d'autres horizons. Je suis donc parti à l'ouest plus encore à la découverte d'un nouveau parcours : direction Couëron par les bords de Loire jusqu'au bac du Pellerin, les marais, l'Etang Bernard et retour par les bords de Loire.
Ca m'a fait du bien de voir d'autres paysages.

Puisque je fais le tour des nouveautés, je termine ma semaine du neuf en vous présentant la nouvelle page mise en ligne il y a maintenant quelques jours et dédiée à ma nouvelle destination 2009 : le marathon d'Helsinki du 15 août 2009.
Toutes mes réservations sont bouclées.
J'ai même réçu mon numéro de dossard par mail : ce sera le N°1516.

Petite déception quand même hier : je comptais faire le marathon de Porto fin octobre mais, cette année, celui-ci est reporté au 8 novembre.
Istanbul, deuxième choix : 18 septembre, trop tôt
Alors, en consultant le calendrier, j'ai trouvé quelque chose à me mettre sous la dent pour les vacances de la Toussaint : Lausanne.
Nouvelle affaire à instruire...

La page spéciale marathon d'Helsinki 2009