Six jours seulement après ce magnifique marathon de Florence, l'heure était à la course à pied solidaire en ce weekend de Téléthon.
Avec Didier, nous étions donc sur la ligne de départ à Pont Caffino pour un trail de 21 km.
Nous aurions pû nous limiter à la version 9 km, mais ce n'est pas le genre de l'établissement
Pas de dossard, pas de classement, pas de pression.
Au creux de cette petite vallée en bord de Maine, une petite gelée blanche et un air froid auquel nous n'étions pas jusqu'ici habitués nous accueillaient de même qu'une organisation bien sympa.
Un petit café chaud.... pas de refus.
Une part de brioche.. non plus.
Deux...
Bref, au sein d'un joli peloton de trailers solidaires et joyeux, nous partions à 9h00 pour 21 bons kilomètres de ce que je pensais faire en récup.
Au delà de la bonne humeur (nous tchatchâmes beaucoup du début à la fin), c'est un superbe parcours qui nous attendait.
Magnifiques bords de Maine, tracé intégralement nature, un vrai régal.
Par contre beaucoup de casse-pattes : côtes et descentes abruptes, peu glissantes mais caillouteuses. Il fallait avoir les yeux rivés au sols.
Vers le 9ème, arrivés vers Aigrefeuille, une passerelle nous aidait à franchir la rivière pour repartir en sens inverse.
Pas d'ennui, beaucoup de beaux coins.
La dernière partie empruntait des sentiers dans le vignobles un peu moins jolis que ce que nous avions traversé précédemment.
Mais vers le 15ème, à force de fournir des efforts non négligeables, la fatigue à commencé à se faire sentir.
Le ravito du 17ème nous aura fait du bien.
Nous rejoignions alors les concurrents du 9 kms et autres randonneurs du jour.
Ces 4 derniers kilos ont été avalés sans problème.
Avec Didier, nous nous sommes offerts un petit sprint pour finir en un peu plus de 2h09'.
Un petit jus d'orange et nous retournions à la voiture nous changer car, ayant bien transpiré quand même, le froid nous glaçait rapidement.
Merci Didier pour m'avoir accompagné sur cette belle course.
Dois-je te remercier pour avoir glissé le marathon de Tours dans mon planning 2015
Pour celui-là, c'est signé à l'instant.
J'ai déjà répondu à un appel d'offre pour un coaching à 3h50'
Ça va m'obliger à faire une petite prépa du coup Le site du marathon
Nous voici de retour de Florence, certainement une des plus belles villes d'Europe de par son patrimoine architectural et culturel : un ville où il fait bon flâner en dégustant une fondante gelati ou en croquant dans une pizza tripe épaisseur.
Ah qu'il était bien ce séjour, qu'il était beau ce marathon.
Le récit et la vidéo arriveront sous peu mais l'album photos est déjà en ligne.
Pour faire court : 3h59'14" en mode métronome touristique.
Des amis, une belle pasta party, de la musique, une météo clémente.
Que du bonheur
Mon mari était un homme aimant et attentionné jusqu'à ce qu'il change sans raison. Il a cessé de prendre soin de moi et de notre fils. J'ai découvert plus tard qu'il avait une liaison avec une femme dans l'entreprise où il travaille. J'ai été dévasté alors que les choses allaient de mal en pis quand il a dit qu'il voulait divorcer. j'ai supplié et pleuré mais il a insisté pour que sa décision soit prise et qu'il ne m'aime plus. Pour faire court, j'abandonnais presque jusqu'à ce que je m'ouvre à un collègue à propos de mes problèmes conjugaux. Elle m'a présenté un spiritualiste appelé la reine Zazi qui, selon elle, a aidé une de ses amies à sauver son mariage brisé en raison de son absence d'enfants. J'ai décidé de lui faire un essai et je l'ai contactée via son e-mail. La reine Zazi m'a dit que l'autre dame utilisait un vaudou sur mon mari. Mais la reine Zazi a réussi à briser le vaudou et à libérer mon mari en 3 jours. La dame est venue se confesser et demander pardon.
Aujourd'hui, nous vivons à nouveau comme une grande famille heureuse et mon mari a même été promu sur son lieu de travail. Je suis venu dire grand Merci à vous la Reine Zazi j'espère que ce témoignage vous parviendra. Amis, aidez-moi s'il vous plaît à partager cela car vous pourriez aider une personne près de chez vous.
Après un mois d'octobre vierge de toute compétition, la faute à une opération de la main qui m'a privé des Foulés du Tram et du Définator à Frossay, je reprenais ce matin le chemin du starter avec le traditionnel Trail Urbain Nantais : 89ème édition de ce tour de Chantenay et ma 9ème participation.
Je n'ai d'ailleurs pas loupé une seule édition depuis 2007, c'est dire si j'apprécie
La météo nous annonçait une fenêtre d'accalmie entre deux perturbations : il s'en est fallu de peu.
8h30, je grimpais les marches de la mairie de Chantenay.
Pas de puce avec le dossard qui m'étais attribué, en quelques secondes un membre de l'organisation m'en attribuait un nouveau... toujours aussi rodée l'équipe du MSC.
Un jour, peut-être, je trouverai quelque chose à critiquer.... m'enfin, pas encore pour aujourd'hui : faudra revenir l'année prochaine
Je redescends les marches de la mairie et leur tapis rouge pour retrouver mes amis d'OVS et une petite tchatche d'avant course.
Il fait doux. Les nuages ont monopolisé le ciel. Le vent se lève petit à petit.
Je pars en débardeur pour un petit quart d'heure d'échauffement.
Les premières sensations sont médiocres.
Après 3 semaines d'arrêt forcé, j'ai repris la natation vendredi sans vraiment me ménager et le résultat est là : la machine est un peu fatiguée.
Toujours le petit frisson lorsque je me place dans le peloton massé dernière la ligne de départ.
Je fixe l'objectif du jour à moins de 1h10', histoire de tenir le 12km/h : ambitieux mais pas trop.
10h00, le starter donne de la voix.
Et moi, comme d'hab, je pars à fond : objectif éviter les différents goulots d'étranglement qui jalonnent ce parcours.
Et, avec 1 000 inscrits, des passages dans des petites venelles étroites, valait mieux ne pas être derrière pour vérifier.
3'43" sur le premier kilo, du suicide... mais ça descend, je n'écoute pas mes cuisses qui crient à l'attentat
Le bas du boulevard de la Liberté marquera vite la fin du délire et le début des hostilités.
Toujours autant d'aspérités sur ce parcours avec, cette année, un variante qui nous fera découvrir le parc de Oblates au prix d'un belle et longue côte.
Pas le choix, je dois me calmer car je suis au bord de l'asphyxie et que mes jambes montrent de gros signes de fatigue.
La première ascension des marches de la butte Ste-Anne sera assez bien digérée.
Toujours un grand moment ce passage avec tous ces spectateurs démonstratifs massés le long des 120 marches.
Je grimpe donc assez facile.
Je reprends vite un peu de rythme pour attaquer la deuxième boucle.
La fatigue se fait de plus en plus sentir mais je garde une belle cadence, me fait doubler mais rattrape aussi d'autres fatigués.
Je me pointe au bas de la butte Ste-Anne pour la deuxième fois.
Mais là, mes réserves sont bien entamées.
Et celle-ci passera moins... facile.
Il me faudra un peu de temps pour récupérer.
6'01" sur ce 13ème kilo, c'est dire
Heureusement, l'odeur de l'arrivée se fait sentir et je peux me lâcher pour donner ce qu'il me reste.
Le dernier faux-plat, boulevard de la Liberté (celui qu'on à descendu au départ), ne me fait pas trop souffrir.
J'ai en point de mire un concurrent que j'aimerai bien griller sur le fil mais ce dernier défi me parait alors peu réaliste car il a une belle avance le bougre.
Heureusement, je sens la menace d'un coureur derrière moi qui veut me faire subir le même sort... tout de noir vêtu, je le vois, à la faveur de plusieurs regards en arrière, fondre sur moi.
Je dis heureusement car, sans lui, je n'aurai pas fait cet effort ultime qui m'a permis, non seulement de ne pas de faire doubler (P..... de fierté) mais également de griller celui que je croyais inaccessible quelques mètres seulement avant la ligne finale.
Mais j'aurai dû sprinter comme un malade, m'arracher pour de vrai !
1h07'31" au chrono, je suis satisfait. J'ai bien géré ma fatigue du jour et su trouver les ressources pour garder une cadence de course respectable.
Je termine donc sur une note positive cette course que, cette année encore, j'aurai avalée goulûment.
Le temps de me désaltérer, de récupérer mon bol et voilà que la pluie s'invite et que le vent se met à souffler en rafales.
Je discuterai un peu avec des amis mais rejoindrai vite ma Scénic pour me mettre à l'abris.
A quatre semaines maintenant du marathon de Florence, la forme est au rendez-vous.
Au fait, je vous ai parlé de mon projet 2015... si, si, dans l'article précédent.
Si tout se goupille bien, il faudra regarder du côté du pays du soleil levant...
La grande muraille de Chine, ça vous cause
Dossier complet envoyé hier.
Maintenant, il faut attendre quelques semaines pour savoir si c'est OK et notamment si le quorum sera atteint pour que Thomas Cook Marathons (opérateur officiel) maintienne l'offre
Une semaine après Berlin, j'ai consacré mon weekend à immortaliser cette belle expérience.
Samedi, 5 bonnes heures auront été nécessaires pour réaliser le montage de ma vidéo, mélange de séquences personnelles vécues de l'intérieur et de vidéos officielles récupérées sur le Net pour la vision extérieure de l'événement.
Dimanche, j'ai passé mon après-midi à rédiger mon récit.
L'album photos était déjà prêt depuis le milieu de la semaine dernière.
Voilà, je vous livre le tout.
Cette étape, indispensable pour tourner la page, va maintenant me permettre de regarder du côté de Florence, mon prochain défi.
Hier, sous un grand soleil et une température idéalement douce, j'ai bouclé mon 36ème marathon.
Si le parcours de ce marathon de Berlin n'était pas franchement folichon, l'ambiance, elle, était carrément géniale : des spectateurs partout, partout, partout, très démonstratifs.
Des groupes de musique disséminés tout le long du tracé pour le plaisir.
Et la course est passée comme une fleur.
Bien fatigué par deux jours de marche débridés pour découvrir la ville, j'avais les jambes lourdes au départ mais au bout d'une douzaine de kilomètres j'au su trouver mon rythme.
J'ai bien géré le reste de la course pour finir en 3h53'07" sans trop souffrir (la preuve, peu ou pas de courbature ce lendemain de marathon).
10 234 ème / 28 999
Ce parcours, ultra plat, a donné lieu à un nouveau record du monde : Dennis Kimetto (Kenya) à bouclé la distance en 2h02'57".
Comme d'hab, je vais maintenant me coller au récit illustré et à la vidéo.
A suivre...
Pourquoi, une semaine seulement après le trail du Sillon et ses 30 kms meutriers, oui, pourquoi fallait-il que je récidive en ce dimanche ensoleillé ?
Pas pour raison de sagesse Une sortie longue en endurance en prévision du proche marathon de Berlin aurait suffit.
Pour des raisons physiques, non plus. Jeudi dernier, lors d'une sortie de 13 kms, mes cuisses peinaient encore à me hisser en haut de la moindre côte.
Soyons francs, je n'avais pas envie de faire un sortie longue tout seul. Alors je me suis dit qu'une petite sortie nature en douceur ça ferai l'affaire.
C'est comme-ça que je me suis retrouvé un pied sur la ligne de départ de la course nature de la Chapelle-sur-Erdre dimanche dernier.
19,9 kilomètres d'un tracé sans grosses difficultés mais avec beaucoup de relances et de portions accidentées jonchées de cailloux et autres racines.
Dossard N°592 épinglé au maillot, après avoir retrouvé mes amis OVS et Didier, local de l'étape, c'est donc sur la ligne de départ que prétentieusement nous placions nos running.
L'idée était de partir dans les premiers pour éviter le goulot d'étranglement inévitable au passage du petit portillon bordant le stade du Buisson de la Grolle.
9h30, boum, partis comme des bombes avec Didier, portillon passé sans encombre, nous nous faisons doubler par les plus rapides.
La sortie en douceur ne fait plus partie de l'objectif du jour : j'ai envie de donner le maximum même si je sais que je n'ai pas totalement récupéré des efforts du weekend précédent.
Le début du parcours n'est pas très accidenté et propice à la tenue du rythme : je tiens.
Vers le 6ème, nous abordons en compagnie des deux premières féminines les première aspérités du jour.
Le Gesvres, je connais, ses contours accidentés également : très cassant, avec des relances sans arrêt.
Là, mes cuisses vont commencer à me faire comprendre que ça devient compliqué pour elles qui ont tant donné la semaine passée.
Résidus de courbature, raideurs dans les descentes... ça tiraille et le rythme s'en ressent.
Plus à l'aise Didier passe devant. Je m'accroche à ses baskets.
Nous laissons les deux féminines nous distancer mais réussisons à stabiliser l'écart.
Malgré les efforts que je déploie pour m'accrocher à mon compagnon de route, les kilomètres passent assez vite. Le parcours est varié et le fait de tchatcher avec Didier m'aide à oublier que je tape dans les réserves.
C'est à partir du 13ème kilo, que le terrain va devenir plus plat. Je déroule en souffrant moins mais, quand même, peine.
Didier prend un peu de distance, retrouve la première féminine : je les regarde filer mais rattrape quand même la deuxième féminine.
Au 15ème, nous descendons pour rejoindre les bords de Loire. J'allonge la foulée et rejoins Didier qui, entre temps, s'est fait prendre 50 bons mètres par la première.
Il me dit être dans le dur.
Moi, ayant repris du rythme à la faveur de la portion descendante, je le lâche et prend en chasse cette féminine qui nous mène la vie dure.
Elle rattrape et double deux concurrents. Je l'imite peu après.
Le dernier kilo arrive vite.
L'arrivée dans le stade est précédée d'un petite côte.
Je sais que j'ai l'énergie pour donner un coup de collier. J'accélère et reprends ma vaillante concurrente avant l'entrée dans le stade.
Je finis toujours au maximum, cette fois-ci ne fera pas exception.
J'arrive même à griller un autre coureur le temps de faire le tour pour arriver à la ligne droite finale et de sprinter pour terminer en moins de 1h35'.
1h34'39", je n'aurai pas parié un centime ce matin sur un chrono aussi honorable au vu de ma condition physique.
Comme quoi, celle-ci doit être correcte tout de même.
Me suivent de peu, cette première féminine avec laquelle j'échangerai quelques remerciements mutuels pour cette positive émulation, Didier, un peu vert d'avoir pris une minute dans la vue en moins de 3 kilomètres, puis la deuxième féminine elle aussi très satisfaite par le soutien que nous nous sommes apportés pendant les deux derniers tiers de la course.
Je retrouverais mes amis OVS le temps d'un traditionnel débriefing, prendrais ma douche et repartirai plutôt content de ma prestation.
Un ½il sur le classement m'a placé 57ème sur 224, 7ème V2H.
Bon maintenant, fini les bêtises.
Encore une semaine studieuse en mode prépa marathon puis je lèverai le pied pour de vrai.
Un passage par la case médecin, vendredi prochain, devrait me permettre de renouveler mon Pass Running pour la saison 2014-2015 : validation attendue pour confirmer mon inscription au marathon de Florence.
Prévu de longue date, ce trail du Sillon me promettait ses 30 rugueux kilomètres.
Couru en mode coach en 2012 (3h26'), en mode tout seul en 2013 (2h53'), fort d'un bel été où j'ai aligné les kilomètres et les séances de qualité, j'avais le secret et ambitieux espoir d'améliorer mon chrono sur cette distance.
Avec une meilleure connaissance du parcours, c'est sûr, je devais mieux doser et garder de l'énergie pour les murs finaux.
Frisquet ce dimanche matin sur le parking Atlantis où je retrouvais ma covoitureuse du jour, Frédérique.
Une petite demi-heure de trajet et nous étions au lac de Savenay, point de départ et d'arrivée du trail.
Retrait des dossards, le N°1048 pour moi, le 1001 pour Fred.
Un peu de tchatche avec Cyrille et Didier, un petit tour de stade en guise d'échauffement et nous voilà sous les ordres du starter.
Il est 8h30. Le ciel est magnifiquement bleu, la température douce.
Les conditions sont idéales.
Reste la question qui tue : et tes jambes ?
C'est l'inconnue du jour. Je ne pars pas fatigué comme lors de mes dernières courses : c'est déjà ça.
On verra en chemin.
J'ai décidé de partir sur une base de 11 km/h et d'ajuster en fonction des sensations.
Je pars un peu au dessus de l'objectif.
Le début du parcours me parait facile. Les premières aspérités sont avalées sans problème ni gros effort.
Le cadre très verdoyant, les chemins et sous-bois rendent la 'promenade' agréable et sans ennui. Tous les bénévoles nous encouragent.
Tout va bien : c'est louche
Parti avec un bidon de 600 ml rempli avec un peu de boisson énergétique, je bois à petites gorgées régulièrement.
Petite frayeur quand même, à la faveur d'une descente un peu abrupte, une vive douleur me lance au bas des reins lorsque je relance dans la montée qui suit. Heureusement, elle va s'estomper rapidement (mais j'aurai mal aux reins le lendemain).
Je chemine en cette première moitié avec deux féminines qui se révèleront être les première et deuxième au scratch. La première me lâchera sur le final. La seconde finira quelques minutes derrière moi. De bien belles foulées
J'avale les montées les descentes, garde un bon rythme sur les parties les plus plates.
Vers le 20ème, mes cuisses vont quand même commencer à grincer dans les côtes les plus rudes. La fatigue commence à faire ses effets.
Ce qui me rassure, c'est que je relance toujours bien dés que c'est moins dur. Mais la moyenne baisse sensiblement.
C'est au 26ème que nous rejoignons les coureurs du 18 kms partis 30 minutes après nous.
Moi, je regarde moins le paysage et me concentre sur la course et ma réserve d'énergie qui baisse au fil du temps.
Je me dis déjà que si je le refais, il faudra que j'améliore ma préparation physique pour affronter les véritables murs qui jalonnent le dernier tiers de la compétition.
Soyons positif, si je pense déjà à l'avenir alors que je n'ai pas encore terminé la course du jour, c'est que le moral est là.
Retour aux abords du lac de Savenay et son dernier kilomètre, ses deux dernières côtes... l'arrivée au stade, précédée d'une série de marches qui, à cet instant font mal... le sprint final sur la piste.
Et oui, finir, pour moi, c'est toujours un challenge.
Je sprinte pour essayer de griller un coureur qui a quelques dizaines de mètres d'avance.
Mission accomplie dans le dernier virage, je donne tout dans la dernière ligne droite.
Le chrono est sans appel : 2h37'40"
Un bon quart d'heure de moins que l'année passée, pouvais pas faire mieux.
Fred arrive quelques minutes après moi. Cyrille et Didier ont couru le 18 kms en mode entrainement. Tout le monde est satisfait.
Le T-shirt technique remis en récompense pour cette 20ème édition est superbe.
Comme j'ai couru 3 courses du Challenge Nature Loire-Atlantique, je me vois récompensé par un coupe-vent sans manche noir.
Voilà une rentrée sportive qui commence bien. 30 kms à 11,5 de moyenne sur un des tracés les plus durs du département, c'est encourageant.
J'ai du coup ajouté la course nature de la Chapelle-s/Edre (19,9 km) au programme du weekend prochain pour travailler vitesse et renforcement musculaire de manière ludique sur un autre parcours pas facile, facile.
Mercredi, ma confirmation d'inscription au marathon de Berlin est arrivée.
La semaine prochaine, visite médicale pour renouveler mon Pass Running.
C'est dit, dans les prochaines semaines, je ne vais pas chômer Site de l'UACS