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Récits compétitions
Idx N°55906/11/2017 à 12:57 - Trail de l'Hyrôme : fatigué ? allez comprendre !
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C'est pour une quatrième compétition en six semaines que je me levais dimanche dernier à 5h30.
Comme d'hab, pas besoin de réveil pour ouvrir les yeux.
Mais côté physique, aïe, aïe, aïe BL
Dans son intégralité, mon corps était rebelle ce matin là : une énorme sensation de fatigue générale, de jambes bien lourdes, pas bon pour le moral.

Bailler à m'en décrocher la machoire, c'est ce que je ferai tout le long du trajet pour, dans un premier temps, rejoindre Didier à La Chapelle-sur-Erdre et ensuite rouler jusqu'à Chemillé-Melay à une petite heure de route de là.
De plus, 5°C au thermomètre, la température n'était pas faite pour me booster.

Ce trail, nous l'avions déjà couru l'année dernière mais, si j'ai souvenir une bon moment passé entre potes (avec Didier et Anthoni), je n'ai plus en tête le tracé et ses difficultés.

Arrivés sur place, nous nous garons quasiment à la même place que l'année passée mais faisons le choix de laisser nos affaires à la consigne pour ne pas revenir à la voiture. Trop froid !
Sur le parking nous retrouvons Arnaud et Mika, les locaux de l'étape.

Photo
Dossards vite récupérés : le N°27182 pour moi.
Nous nous préparons à l'abri, profitant d'une petite table près de la consigne.
J'opte pour des manches longues, du court pour les jambes, pas de gant mais un buff autour du cou.
Il y a des ravitos sur le parcours alors je fais l'impasse du le Camelbak.

PhotoUn petit vent froid balaye le stade où nous faisons un petit échauffement, juste pour ne pas attendre en nous refroidissant.

9h30, un peloton d'un peu moins de 500 coureurs s'élance, sous le soleil, à l'assaut des 27 kilomètres annoncés.

Moi, bien engourdi par la fatigue et le froid, je pars doucement.
Je ne sais pas trop comment aborder cette épreuve.
Le début de course est descendant.
On tchatche avec Didier et Arnaud.

A la défaveur d'une pose technique dans le troisième kilo, je repars juste devant le vélo balai et les trois concurrents qui le précèdent.
Me retrouvant de fait en queue de peloton, je vais perdre énormément de temps lorsque nous allons aborder les premiers chemins mono trace.
A chaque petite côte, chaque passage sur un pont (ponts en bois ultra glissants), ça bouchonne.
Je prends mon mal en patience, me disant que ce n'est pas plus mal pour moi.

Photo
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Le parcours est plaisant. Nous longeons l'Hyrôme dans un cadre très vert.
Quelques côtes mais pas de grosses difficultés sur cette premère portion.
Le premier ravitailleemnt arrive au km 7.
Parti volontairement sans Camelback, je prends un peu d'eau et de Coca, un carré de chocolat et deux noisettes pour aasurer sur la fin.
A partir de ce moment, ma course va prendre une autre dimension.

Photo
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Ces premiers kilos imposés à une allure modeste m'ont permis de bien m'échauffer.
Comme arrivent des chemins un peu moins étroits, je décide de hausser le ton pour essayer de rejoindre Didier et Arnaud.
4'42" au km 8, je passe de 10 à plus de 12 km/h.
Je en sais pas trop combien de temps je vais tenir à ce rythme mais je me dis que je ralentirai une fois retrouvés mes compagnons de toute.

Autre ravito, un peu rapproché à mon goût, au km 11.
Je prends quand même le temps de boire et de prendre un peu de solide.

Photo
Malgré les pluies de ces derniers jours, le terrain n'est pas trop boueux.
Mes Asics acrochent bien dans les côtes et les descentes abruptes.
Avec ce haussement de rythme, je double beaucoup.

Les kilomètres défilent. Et toujours pas de Didier en vue.
Je me dis que j'ai pris trop de retard sur le début de course et que je ne le reverrai pas avant l'arrivée.
Cependant, je ne subit pas trop ma fatigue.
Je garde un bon rythme, avale assez bien les difficultés et relance sans trop souffrir.

Photo
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C'est vers le 20ème que je vais commencer à ressentir les effets de la fatigue.
Je franchis quand même le 22ème en un peu moins de deux heures.
Je fais une dernière halte au 3ème ravitaillement. Je snoberai le 4ème pour ne pas casser mon rythme et éviter une relance trop laborieuse.

Photo
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L'Hyrôme, nous allons y goûter peu après.
Comme un chien fou, je traverse ce petit cours d'eau à fond.
Au plus profond, j'ai de l'eau à mi-cuisse.
Mais, avec l'élan, je m'éclabousse le visage et ressort du gué trempé jusqu'à la taille.
L'eau était glaciale.
S'en suit une belle patate bien raide : pas facile de garder de l'allant avec des pompes gorgées de flotte. Au milieu de la côte, je marche un peu.

Les dernier kilos sont jalonnées de véritables murs que je monte en marchant, mains sur les cuisses.

Je n'y comptais plus et pourtant.
Au km 25, je reconnais la silhouette de Nono.
Je le dépasse.
Il me dit que Didier est juste devant.
Je ne suis plus en messure de trop accélérer mais, même si côté musculaire, les signes de fatigue se font de plus en plus sentir, je garde cette cadence qui m'a permis de bien avancer.

Un peu plus loin je rejoins Didier. Check !
Un oeil au chrono me confirme que je tiens bien le choc.
La dernière portion pour rejoindre le stade comporte deux belles côtes et un long faux-plat.
Les 2h30 pointent le bout de leur nez alors je jette mes dernières forces dans la bataille.

PhotoLorsque je franchirai la ligne d'arrivée, j'aurai dépassé cette barrière symbolique de quelques secondes.
Mais, comme l'année dernière, la distance annoncée par mon GPS est plus proche des 28 que des 27 kilomètres.
27,76 km en 2h30'26".
Plus de 11km/h sur ce trail, je n'en reviens pas.
Du vélo balai à la 183ème place au scratch, j'aurais gratté plus de 250 coureurs.
Je suis htyper satisfait.
Didier puis Arnaud arrivent peu après. Satisfaits eux aussi.

Une médaille en chocolat nous est remise avec une bouteille de jus de pomme local et une sac contenant une gourde et quelques denrées alimentaires.
Nous filons rapidement à la consigne récupérer nos effets personnels, nous changeons et reprenons rapido le chemin du retour.

Un fois encore, la fatigue m'a joué un drôle de tour.
Loin de me clouer au sol, comme à Savenay, même si j'ai un peu joué avec le feu, même si j'en ai un peu bavé sur la fin, cette fatigue m'a dopé moralement m'obligeant à bien doser mon effort, à me faire un peu violence pour ne rien lâcher.

Plus de compétition en vue dans les prochaines semaines, je vais pouvoir entâmer une période de récupération et commencer à penser à mon planning 2018 toujours désespéremment vide...


LienSite du Trail de l'HyrômeLien
Page 7 - Article N°422

Récits compétitions
Idx N°55830/10/2017 à 09:57 - Trail Urbain Nantais : reprise pas top poussive !
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Rentré vidé, épuisé de mon récent périble à Budapest, en me garant sur le parking à proximité de la mairie de Chantenay, je n'étais pas très confiant.
Les petits footings de ces 10 derniers jours, laborieux, c'est le moins qu'on puisse dire, étaient révélateurs d'une belle fatigue générale.

Mais, comme à mon habitude, l'envie était là.
Et puis, ce trail urbain, je le place parmi les plus belles courses de la région.
Alors pourquoi bouder son plaisir ?

Arrivé tôt pour pouvoir aisément me garer, je filais chercher mon dossard, le N°336, au premier étage de la mairie.
Un petit bonjour à Rémi, venu de son île d'Yeu pour l'occasion.
Retour à la voiture rapido. La température fraîche de ce dimanche matin, alliée à une masse nuageuse menaçante, n'invitait pas à découvrir ses gambettes.

Conscient de la petite forme du moment, je misais donc sur un long échauffement en douceur.
La stratégie du jour consistait à partir prudemment sans toutefois trop me traîner.
Bref, à l'écoute des mes sensations.
Objectif, 12 km/h soit 1h15'.

27 minutes d'échauffement plus tard, ayant bien papoté avec des amis de mon ancien club, bien chaud, je filais retirer coupe-vent et manchons pour me présenter dans le sas de départ en short et maillot manches courtes.

Départ donné à 10h00, je merdouille pour lancer mon chrono. Je ne m'en apercevrais que 500 mètres plus loin.
Je pars sur un bon rythme sans me mettre dans le rouge.
La première descente mène aux premières difficultés : montée vers le haut du parc des Oblates, escaliers pour redescendre et remonter le dit parc.
Pour bien chauffer les cuisses et faire monter le cardio, la meilleure des recettes, c'est sûr !

Ensuite, ça ondule.
Je profite des faux-plats et descentes pour récupérer avant chaque difficulté.
Difficile de calculer une moyenne sur ce parcours accidenté mais je me situe légèrement au dessus des 12 km/h visés.
Je souffre un peu : musculairement, ce n'est pas le meilleur de mes jours.
Mais, je gère.

Photo
PhotoPremière ascension de la Butte Sainte-Anne et de ses 120 marches, ça passe sans trop de bobo.
Belle descente avant d'attaquer le deuxième tour, je récupère.
Ayant bien bu avant le départ, de peur d'avoir du mal à relancer, je fais l'impasse sur les ravitos.

Cette deuxième boucle va bien passer elle aussi.
Calé sur une cadence qui me convient, les kilomètres et les difficultés défilent plutôt vite.
Le moral est bon. Les cuisses ne râlent pas trop. Le souffle est au rendez-vous lui aussi.
La deuxième montée de la Butte passera mieux que la première.
Sourire à Laure qui, comme au premier tour, m'encourage et me prend en photo.
Je file.

PhotoArrivé au pied de la longue côte qui mène au portique final, j'ai encore du jus.
J'entends les foulées d'un groupe de coureurs, dopés par la ligne d'arrivée, qui entend bien me cramer avant de la franchir.
Je me retourne, vois le danger.
Ni une, ni deux, j'allonge la foulée et accélère significativement.
Mes assaillants s'accrochent mais j'arrive à hausser le ton pour finalement les distancer d'une bonne dizaine de mètres.

A mon arrivée, le chrono officiel annonce 1h11'50".
Objectif dépassé avec la manière.

Je retrouve mes copains des Traileurs du 44, Romain, Yann, Anthony, ...
Au traditionnel bol breton, je préfèrerai une paire de manchons pour les fraîches matinées à venir.
Je profiterai d'une petite collation gentillement préparée par Gaëlle pour partager un moment de détente avec les autres Td44 qui son arrivés, Franck, Olivier, Sébastien, j'en oublie.
Un petit coucou à mon pote Thierry (Bobosse) venu courir en famille avec ses grands enfants.

Trempé de sueur, je me refroidis à vitesse grand V. Je décide de retourner me changer à la voiture et dis au revoir à ma bande de potes.

La façon dont j'ai géré cette reprise post marathon me rassure un peu.
Dimanche prochain, avec Didier, nous irons refaire le Trail de l'Hyrôme, un 27 km que j'espère courir sans trop peiner.
On verra.

LienSite du MS Chantenay NantesLien
Page 7 - Article N°421

Marathon
Idx N°55719/10/2017 à 18:23 - Budapest : et de 50 !
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Et voilà, de retour de Budapest, je suis tout fier d'afficher la médaille de mon 50ème marathon.

La destination choisie aura tenu ses promesses.
Budapest est une ville ville superbe sur le plan touristique.
Son marathon vaut largement le détour... à condition d'être un amoureux du Danube et de ses ponts MD

Avec Isabelle, nous aurons énormément marché pour découvrir les trésors de cette cité : pas loin de 50 kilomètres au podomètre... je l'ai payé cash le jour de la course.
Ajoutez à cela un marathon et vous comprendrez que je rentre un peu fatigué... mais terriblement satisfait.

Je vous raconterai tout cela bientôt, images et vidéo à l'appui.


LienLe journal de ce 50ème marathonLien
Page 7 - Article N°420

Récits compétitions
Idx N°55602/10/2017 à 14:11 - Mauves en Vert : une première en relais
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Pour ce premier rendez-vous avec le trail de Mauves-sur-Loire, à deux semaines du marathon de Budapest, c'est en relais aux côtés de Didier et Pascal que je m'alignais.

C'est Pascal qui avait géré notre inscription et récupéré notre T-shirt récompense ainsi que la chasuble équipée d'une puce qui devait nous servir de témoin à chaque relais.

L'équipe N°2063, c'était donc nous.
Moi sur le premier relais : 24 km et un D+ annoncé de 550 mètres.
Didier en deuxième pour 21 km et 450 mètres de D+.
Pour finir avec Pascal sur 18 km et 550 mètres de D+.

Partis de La Chapelle-s/Erdre vers 7h00, nous arrivions à Mauves-s/Loire une grosse demi-heure plus tard.
Un ciel très chargé. Une petite pluie fine.
Mais en contre-partie, une température des plus douces.
De bonnes conditions pour un trail.

Sur place, nous retrouvions quelques Traileurs du 44 et autres All Hopes, engagés soit sur le relais soit sur l'épreuve solo qui partait une demi-heure avant.
Pas vraiment d'objectif pour ma part.
Ne connaissant pas le terrain et ses difficultés, mon seul but était de donner le meilleur pour le bénéfice de l'équipe et un classement dans la première moitié du tableau, why not !

PhotoJuste le temps de faire un court échauffement et il était déjà 8h30.
Massés sur la ligne de départ, parmi les premiers coureurs des 92 équipes, j'écoutais le briefing d'avant course.
Au coup de feu, filmé en live par Didier, je pars comme un bombe.

PhotoL'accélération sera de courte durée car, moins de 200 mètres plus loin, nous attend un premier raidillon.
Hors de question que je me crame dés le départ, je préfère me laisser dépasser que de trop forcer.
D'autant que les deux premiers kilos annoncent clairement la couleur : vas y a avoir de la bosse !

Par chance, la pluie a vite cessé.
Les chemins, tout au long du tracé, seront boueux mais pas trop.
Même si ça ondule fort, les cuisses peuvent récupérer sur quelques transitions moins accidentées qui permettent de tenir la moyenne..
Par contre, dans les descentes caillouteuses, ça glisse énormément.

PhotoAu passage d'un petit fossé, mon pied gauche ripe sur de la roche.
Douleur éclair à la cheville... je fais quelques centaines de mètres en boitillant puis la douleur s'estompe.
Avertissement sans frais : il me faudra ralentir dans les descentes au risque de me blesser et de ne pas terminer.

Vers le 8ème kilo, je double la dernière concurrente du 63 km en solo.
Nous sommes dans une portion très boisée en chemin mono-trace.
Je n'ai pas encore trouvé mon rythme de croisière.
Mais, je vais devoir prendre mon mal en patience.

En effet, je me retrouve mélé au peloton du 63 km solo.
Fatalement, tous ces courageux courent moins vite que moi.
Mais, même si, très sportivement, chacun fera son possible pour me laisser passer devant, je suis souvent bloqué et obligé de patienter avant de pouvoir doubler.

Au ravito du 12ème, je sors mon gobelet, bois un gorgée de Coca, un grand verre d'eau, avale deux carrés de chocolat et repars.
Toujours en mode "je double quand je peux", je vais perdre pas mal de temps.
Ce n'est que vers le 15ème que je vais pouvoir hausser le ton.

Par contre, une fois lâché, je vais bien accélérer.
Du coup, je reprends quelques coureurs du relais qui sont moins bien sur la fin.
Le parcours ne laisse pas beaucoup de répit.
Je réussi l'exploit de me tordre une deuxième fois la cheville gauche sur une portion rocheuse ultra glissante. Mais ça ne freine pas mon avancée.

Le dernier kilo est ardu.
Le dernier mur, monté en marchant, les mains sur les cuisses, se situe dans les 500 derniers mètres.
J'arrive au Cellier, vois Didier qui m'attend.
Dernière accélération, en courant, je retire mon Camelback puis la chasuble que je passe à mon pote. Check!

24 km et 550 mètres de D+ bouclés en 2h17, je suis trempé de sueur mais satifait.
J'ai les cuisses en bouillie et une cheville qui tiraille franchement.
Je retrouve Pascal qui à mon blouson et les clé de la voiture.
Je profite d'un super ravitaillement (aussi bien en salé qu'en sucré) pour manger et boire abondamment.
Car, entre effort intense et douceur atmosphérique, j'ai enormément transpiré.
Voilà, j'ai fait ma part du job.

Photo
PhotoJe me change et, avec Pascal, nous partons direction Oudon où nous attendrons Didier qui bouclera ses 21 kilos en 2h06'.
L'occasion pour moi de prendre quelques photos.
Ensuite, avec Didier, nous irons attendre Pascal à Mauves.
Nous ferons les 1600 derniers mètres ensemble.
Nous piquerons un petit sprint final pour griller un coureur du relais et gagner une place au classement.

PhotoNotre équipe finira donc 43ème sur 92, dans cette première moitié de classement convoitée.
Il nous aura fallu 6h32' pour venir à bout de ces 63 kilomètres et leurs 1 500 mètres de dénivelé.
Une borne à selfie gracieusement mise à la disposition des coureurs nous permet de poser une image sur ce bel instant.
Bonne idée !

PhotoNous verrons arriver nos autres copains et prendrons une petite bière bien méritée.

Ce matin, j'ai les cuisses qui grincent... ma cheville, elle aussi, légèrement gonflée, me rappelle que je l'ai hier bien martyrisée.
J'ai maintenant deux semaines pour récupérer et me préparer à affronter mon 50ème défi marathon.

LienSite du RCNLien
Page 7 - Article N°419

Musique
Idx N°55504/09/2017 à 10:55 - ROLAND FP-90
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J'en avais envie depuis pas mal de temps.
Ce qui me retenait était ma crainte de ne pas avoir suffisamment de temps pour ajouter une nouvelle passion à mon planning déjà très, très, très rempli.
La course à pied, la natation, la guitare, mon groupe The JAXS, chronophage tout ça !

Il y a deux semaines, j'ai craqué.
Plus de 40 ans après avoir arrêté, je voulais retrouver les sensations que procure le piano.
Je voulais un piano numérique portable : pour des raisons d'encombrement, de transport et la possibilité de jouer au casque pour ne pas importuner famille et voisins.

Pas grand chose d'intéressant en occasion, les prix étant très proches sur le Net et en magasin, je me suis dons rendu dans le grand magasin le plus proche de chez moi (Desedavy Pianos à Orvault, un hall d'expo immense).
Voir et toucher tous ces claviers n'a fait que confirmer mon souhait.
Un vendeur à l'écoute m'a conseillé. J'ai comparé plusieurs modèles.
Venu pour voir, je n'ai pourtant pas hésité longtemps.

Mon choix s'est porté sur un piano ROLAND FP-90.
Bien sûr, j'ai explosé le budget initialement prévu mais on a qu'une vie !

Piano commandé dans la foulée... réceptionné mardi dernier.
Il aura fallu que je réorganise mon bureau.
Exit le canapé qui prenait trop de place.
Achat d'un petit coffre vintage pour ranger tous mes accessoires et partitions.
Mon piano a trouvé sa place.

Côté apprentissage, j'avais repris le solfège depuis quelques semaines pour me (re)familiariser avec les clés de Fa et de Sol.
Jeudi dernier, je profitais de la pause déjeuner pour assister à mon premier cours.

C'est donc parti pour de nouvelles aventures musicales RK
Page 7 - Article N°418

Récits compétitions
Idx N°55428/08/2017 à 10:53 - Trail du sillon : savoir lâcher prise...
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Photo


Lorsque je me lève en ce dimanche matin, je pèse lourd... la tête, le corps, tout est pesamment englué dans cette nasse de fatigue qui fait suite à ma cinquième nuit d'insomnie.
Les fortes chaleurs de ces dernièrs jours ont eu raison du peu de sommeil que je m'accorde au quotidien.
Mes mollets sont durs comme du béton.

Ce nouveau rendez-vous avec le trail du Sillon à Savenay s'annonce difficile.
La distance est cette année portée à 33 kms... comme à la Pommeraye la semaine précédente mais avec 'seulement' 500 mètres de dénivelé.

Malgré cette petite forme, l'envie est là.
Le plaisir de retrouver Frédérique, Didier et Denis pour une nouvelle aventure galvanise mon entrain.

Une petite demi heure de route nous amène au lac de Savenay.
Antoni nous retrouve sur le parking, prairie aménagée pour la circonstance.
En ouvrant ma portière, j'érafle la voiture qui surgit, un peu vite, un peu trop prés, se garer à coté de la voiture de Fred... rien de grave mais ça, c'est fait.
Le soleil pointe ses premiers rayons.
Il fait déjà chaud.
Je déteste la chaleur CR
P'tain, ça flaire la galère.

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Dossard 529 sur le maillot, le temps de discuter un peu, il est déjà 8h30.
Malgré l'appel des organisateurs, personne ne se presse sur la ligne de départ... comme si les traileurs, par instinct, redoutaient le combat GR

Photo
La rigolade du jour : nous nous plaçons sur la ligne, devant, là tout devant.
Au pouet de départ, nous partons comme des fusées pour quelques centaines de mètres de gloire dans le top 5 MD
Trés vite, nous sommes dépassés par les vedettes, les vraies.
Nous levons le pied, pas le choix.

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Malgré de mauvaises sensations, j'espère qu'avec les kilomètres la machine va se réveiller.
Même si je reste au contact de mes camarades, je tente de ne pas faire d'efforts démesurés.
Sur ces premiers kilos, je suis rejoins par Manu, qui se reconnaitra en lisant ce modeste paragraphe. Nous avions fait connaissance sur cette même course il y a deux ans.
Nous deviserons joyeusement voyage et course à pied pendant quelques hectomètres.
Je le laisserai partir... pas de jambes.

Je tiens un rythme proche de 10 km/h... mais à grande dose d'efforts.
Je ne suis pas bien du tout.
C'est évident, je ne vais pas tenir.

Longue pause au premier ravitaillement du 9ème kilo.
Antoni est encore avec moi. Denis et Didier ont disparu de ma ligne de visée depuis un bail maintenant. Fred, partie prudemment est encore derrière mais pas pour longtemps.

Je traine ma misère.
Mes forces déclinent bien trop vite.
Avec la chaleur qui monte, je suis trempé de sueur, et pire, au bord du malaise.
15ème kilo, résigné, je marche pour éviter la cata.
Là, trois options se profilent.
Soit j'abandonne au ravitaillement du 17ème... pas vraiment mon style.
Soit je me traine jusqu'au 27ème, là où, barrière horaire mise en place, je pourrai couper pour rejoindre le point de départ et économiser quelques kilomètres.
Soit, je marche et mise sur le temps pour laisser à mon organisme une chance de se refaire.

Fred me dépasse vers le 20ème.
Je suis au fond du fond, bien incapable de la suivre.
En alternant marche et course, j'avance péniblement.
Le parcours est plus roulant que la semaine dernière, heureusement.
De belles montées mais pas de grosses côtes cassantes.
Sur les portions ensoleillées, je souffre mais pas trop car de nombreuses parties en sous-bois permettent de retrouver une relative fraîcheur.

Tous ces intermèdes plus lents vont finir par payer.
Je finis par recourir plus longuement, plus en rythme.
Mieux, je commence à dépasser des coureurs.
Je rejoins les vélos balai de la course de 21 kms, en dépasse les derniers concurrents dont une collègue que je ne reconnaitrai pas (elle non plus d'ailleurs, lucidité quand tu nous abandonnes). Nous réparerons cette erreur de l'histoire à l'arrivée.
A la barrière horaire du 27ème, j'ai 30 minutes d'avance.
Le moral refait surface.
Le raccourci ne fait plus partie de mes options...

Les derniers kilos sont plutôt descendants.
Aux abords du lac, je continue ma progression.
Le dernier kilo est annoncé.
Je sollicite mes dernières ressources pour rejoindre le stade de départ... en accélérant.
Ca le fait !

Photo
Pas de sprint car j'arrive relativement esseulé comme je l'ai été pendant les deux-tiers de la course.
Seulement 216 classés, forcément, sur cette distance, les écarts sont grands.
Je coupe le chrono à 3h41'50" pas mécontent d'en avoir fini mais soulagé d'avoir eu le mental pour ne pas abandonner.
La sagesse a parlé.
J'ai su à temps me raisonner pour écarter toute idée de performance chronométrique.
J'ai pris le temps de récupérer longuement, bien m'en aura pris.

Même si je suis épuisé, je suis content d'être venu à bout de cette épreuve que j'essaierai de refaire dans de meilleures conditions physiques.
Mes potes ont mieux tenu la route que moi, même si je m'attendais à des écarts plus conséquents. On se réconforte comme on peut.

Place à la récupération.
Peu de course à pied avec la canicule qui va encore durer quelques jours.
Un peu plus de natation pour compenser et récupérer activement.

Le marathon de Budapest se profile pour mi-octobre.
Une petite course est à programmer en septembre.
Peut-être Saint-Mars-La-Jaille et son premier trail de 28 kms.
On verra.

LienSite de l'UAC SavenayLien
Page 7 - Article N°417
Denis le 28/08/2017 à 13:51
Le manque de sommeil et la chaleur de cette fin d'été ne t'ont pas permis de récupérer complétement de ton escapade angevine. Mais courir l'équivalent de deux marathons (en tenant compte du D+) en huit jours reste une performance de choix. J'en serais incapable. RP
didjeb le 04/09/2017 à 20:57
Le trail des provinces version Poitou
40 kms devrait te remettre d equerre le 16 sept 😊

Récits compétitions
Idx N°55321/08/2017 à 12:50 - Trail des Moulins : poussière et dénivelé
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Une fois encore, je me suis laissé prendre au jeu par Didier.
J'avais prévu une dernière semaine de qualité avant de me reposer en vue du trail de Savenay (33kms et 500 m. D+) du 27 août prochain.

L'envie de participer à cette rude épreuve qu'est le trail des Moulins à La Pommeraye, nous aura poussé à nous inscrire trois jours seulement avant le jour J.

La Pommeraye, nous y avions déjà participé il y a deux ans.
Ses 33 kilomètres et ses 1 000 mètres de dénivelé positif, bien que très usant physiquement, nous avaient séduits tant le tracé de cette course était superbe.

C'est donc pas reposé, en ayant tout juste allégé mes séances de fartlek et de natation prévues le vendredi, que je prenais le départ de ce trail.

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PhotoDebout un peu avant 5h00, le temps de passer chez Didier, de faire la route jusqu'au stade de La Pommeraye, il était un peu plus de 7h00.
Dossard N° 66 pour moi.
Un beau t-shirt technique gris remis en récompense d'efforts au stade de promesses.
Vu la distance, pas d'échauffement.
Nous attendrons patiemment le départ en blablatant avec les copains Trailers du 44 venus en force pour l'occasion.

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Ciel bleu sans l'ombre d'un nuage, petite fraîcheur matinale, la météo sera idéale jusqu'au bout.
8h00, un peloton de plus de 250 traileurs se lance à l'assaut des difficultés du jour.

Mon objectif n'est pas très ambitieux car je dois ne pas trop puiser dans mes ressources en prévision du trail de Savenay.
J'avais couru ce trail en 3h55'20" en 2015.
Je vais essayer de viser les 4h00 voire un peu plus selon le manque de fraîcheur physique prévisible.

Photo
Le début de course est plutôt descendant.
Après un premier tour de piste, nous sortons du stade et nous retrouvons rapidement en pleine campagne.
Nous partons doucement, tchatchant à loisir.

Photo
La première côte significative arrive au 6ème kilo.
Je décide de la monter en petites foulées.
Didier la monte en marchant.
Nous ne nous reverrons plus qu'à l'arrivée.

PhotoEncore une belle patate au 9ème puis nous redescendons sur les bords de Loire pour une longue portion au ras du fleuve.
Là, le terrain alterne sable et boue. Dévers, racines et cailloux, m'obligent à garder les yeux rivés au sol.
Une nouvelle côte nous attend au sortir de cettte partie plate mais très technique.
Ma moyenne qui était légèrement supérieure à 10 km/h commence à baisser.
Malgré tout, je dépasse régulièrement ceux que les montées rebutent.

Comme nous courons souvent en sous-bois, nous ne ressentons pas la chaleur qui commence à nous titiller sur les parties non abritées.
Le parcours ondule plus ou moins jusqu'au premier ravitaillement du 17ème kilo.

Ensuite, les choses sérieuses vont commencer.
Les aspérités deviennent de plus en plus abruptes.
Hors de question de les monter autrement qu'en marchant.
A cet exercice, je dépasse pas mal de monde.
Le 21ème, sera couru en plus de 9 minutes : ça commence à tirer grave sur les cuisses. Le cardio en prend à chaque fois un coup.
Malgré tout je gère bien mes ascensions et prends le temps de récupérer juste après.
A partir de là, le chrono va filer. Plus question de tenir la moindre moyenne.

Constat, la sécheresse est omni présente.
Les chemins sont hyper poussiéreux rendant les montées et descentes glissantes.
Tous les cours d'eau sont à sec ou au plus bas.
A seulement deux reprises, je mettrais les pieds dans l'eau alors qu'il y a deux ans je ne comptais plus les passages humides.

Au sortir du deuxième, mon pied glissera sur la roche : mains et coudes au sol, mini chute sans conséquence. Le coureur devant moi me demandera avec insistance si tout va bien. Je le rassurerai. C'est aussi ça l'esprit trail !

Des traces, pas des chemins ni ses sentiers, non.
Les traces de la Vache et de la Tête d'Aigle sont de simples ouvertures au travers de collines abruptes et boisées.
Traces rendues compliquées avec le sol ultra poussièreux.
Mes cuisses commencent à fatiguer significativement.
Je manquerai à plusieurs reprises de me tauler dans les descentes.
Me rattrapant in extremis à un tronc d'arbre, j'aurai une désagréable sensation de déchirement en constatant qu'un épineux y a élu domicile. Je continue avec un doigt qui pisse le sang... au sommet de la Tête d'aigle, je demanderai à des spectateurs un mouchoir pour me faire un pansement de fortune.
Spectaculaire mais rien de grave. Ca pique quand même un peu CR

Plus de 12 minutes pour boucler ce 29ème kilo, c'est dire si ces deux dernières difficultés étaient coriaces.
J'ai escaladé à quatres pattes quelques portions rocheuses très raides.

Les 3 derniers kilos vont me permettre de me remettre de cette immense charge musculaire où mes cuisses auront diablement souffert.
Les ondulations se font plus douces. Une passerelle nous fait enjamber une route. Nous cheminons dans les vignes.
Un petit hameau, une petite descente et l'arrivée se profile.
Une petite butte, dernier effort du jour , nous permet d'accéder au stade.
Des enfants me tendent la main, check !
Je donne un dernier coup d'accélérateur sur les 200 mètres de piste qui mènent à la ligne d'arrivée.
Personne devant, personne derrière, pas de sprint nécessaire.
Je speaker a le temps de consulter ses notes pour annoncer mon arrivée.
Je coupe le chrono à 3h56'28", une petite minutes de plus qu'il y a deux ans.
Super.

Didier arrivera 8 minutes plus tard visiblement en bonne forme. Course bien gérée de son côté également.
Malgré le Camelbak et les ravitos où j'ai copieusement bu, j'ai une soif d'enfer. Je m'enfile quatre verres d'eau gazeuse.
La douche ne sera pas un luxe tant nous sommes crasseux : mélange détonnant de transpiration et de poussière. Vous avez dit "odeurs"...

Nous repartons satisfaits.
La course à tenu ses promesses : belle organisation, beau parcours.
Reste maintenant à récupérer car nous remmettons ça dans une semaine.
33 kms encore mais seulement 500 mètres de D+ TF

LienSite de l'ASEC La PommerayeLien
Page 7 - Article N°416
Denis le 21/08/2017 à 13:52
Didier et toi êtes vraiment de grands malades. Dans quel état vais-je vous retrouver à Savenay ? Excellente récupération d'ici là.
URéponse de Didier le 23/08/2017 à 13:20
Tu nous retrouveras... a savenay 😂


Récits compétitions
Idx N°55207/08/2017 à 09:40 - Foulées micheloises : pas la niaque !
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Pour cette neuvième compétition de l'année, avec Didier, nous avions choisi une distance courte.
Les Foulées Micheloises : 10,2 kms à Saint-Michel-Chef-Chef, sur la côte.
Evénement auquel nous avions déjà participé il y a deux ans.

Vous connaissez ma répulsion pour les courtes distances.
Alors pourquoi choisir un parcours ondulant avec deux longues portions de sable se terminant part 83 marches suivies d'un petit faux plat montant pour couronner la difficulté ?
Hein, pourquoi ?

Juste sur la base d'un bon souvenir, pour la promesse d'un bon moment de running... et d'un petit BBQ à suivre pour profiter de l'été.

8h00, nous prenions donc, avec Didier au volant, la direction de Saint-Michel-Chef-Chef. 45 minutes de route.
Petite fraîcheur matinale, limite chair de poule mais grand ciel bleu et sa promesse de beau temps.

Dossards vite récupérés, le N°217 pour moi, le N°36 pour ce petit gars de l'Indre qu'est et restera Didier, nous tenions à faire un long échauffement.
Un petit coucou à Lydie et Philippe rencontrés à proximité du stade, lieu de l'événement.
J'essaye de réveiller ce corps un poil réfractaire à l'effort en cette matinée.
Bilan pas rassurant pour ma pomme, malgré 36 minutes de footing ponctuées par quelques changements de rythme, les jambes n'y sont pas.
A force de négliger toute forme de travail de vitesse à l'entrainement, c'est normal !

Sur la ligne de départ, nous retrouvons Emmanuel (Traileur du 44).
Vu la distance et ma médiocre condition physique, j'opte donc pour la mission suicide : partir vite et tenir aussi longtemps que possible pour finir à l'arrache.
Pas bien sérieux mais, c'est vrai, je ne trouve plus les ressources pour me motiver sur cette distance alors autant essayer de tout donner quitte à souffrir un peu.
Et cela va se vérifier en course.

Photo
10h00, c'est donc parti pour une première boucle d'un kilomètre.
Je pars vite.
4 minutes me suffisent pour repasser la ligne de départ.
N'importe quoi !
J'attaque ensuite la première boucle de 4,6 kms.
Légers faux-plats montant puis descendant : 4'18" puis 4'17 au kilo...
Mes poumons vont exploser.
Mes cuisses hurlent à l'agression.
Ma tête ignore toute forme de revendication physiologique ST

PhotoLa "fête" va prendre fin rapidement avec la première portion de sable mou suivi de la descente abrupte vers cette plage de sable fin que nous allons arpenter pendant quelques centaines de mètres pour attaquer une série de 83 marches toutes plus irrégulières les unes que les autres. Marche suivies d'un faux plat-montant, histoire d'affoler le cardio.
4'48", 4'39", 4'36"...

Lorsque je repasse sur la ligne de départ pour la dernière boucle, je ne suis pas au mieux, loin de là.
Je passe en mode 'je vais essayer de gérer au mieux ce qu'il me reste d'énergie'.
Le deuxième passage sur la plage va être très difficile. 9ème kilo réalisé en 5'28".. j'ai l'impression de peser une tonne de plus qu'au premier tour et de m'enfoncer dans sable DD

Photo
Photo
Photo
Mais, bonne surprise, dans le faux plat de sortie de la plage, mes jambes retrouvent de leur allant.
Ca descend juste après. Mes guibolles s'emballent.
4'21" sur ce dernier kilo.
3'48" au kilo sur les 200 derniers mètres... dommage que ça s'arrête, je commençais à retrouver la pêche.
Je me suis quand même fendu d'un petit sprint à 3 pour franchir la ligne.
Je me suis vraiment arraché pour ne pas me faire griller.

Photo
46'02", je ne le cache pas, ça a été dur.
Didier franchit la ligne moins de 30 secondes après moi.
Nous récupérons notre serviette souvenir et nos deux paquets de galettes St-Michel, posons pour la photo et partons faire un court décrassage avant de prendre le chemin du retour.

Malgré tout, j'ai pris du plaisir à venir courir en bord d'océan.
Cette 'petite' course est vraiment très sympa, bien organisée.

La journée se terminera par un moment de calorique récupération entres amis autour d'un bon barbecue.

Au prochain rendez-vous, on triple la dose à Savenay : 33 kms et 500 de D+.
Va pas être facile non plus celui-là !

PS : problème reconnu par l'organisateur, les résultats officiels ne sont toujours pas corrects. Peu voire pas de chance de voir un classement officiel.


LienLe site du CJACLien
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Vidéos
Idx N°55109/07/2017 à 20:21 - Rio : la vidéo marathon Fait marquant N°551
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Il en fallait une pour terminer le chapitre Rio de Janeiro.
Voici donc la vidéo de mon 49ème marathon.

N'oubliez pas d'aller jeter un oeil au journal complet de ce bel événement : récit, parcours, diplôme, photos et vidéo, tout y est.

Ma GoPro a tenu ses promesses. Les images sont plus fluides et plus stables.
C'est reparti pour de longues et nombreuses.



LienLe journal complet de l'événementLien
Page 8 - Article N°414

Musique
Idx N°55001/07/2017 à 17:05 - Nuit de l'Erdre : les Insus
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Hier, avec Isabelle et mon grand Gaël fraîchement reçu à sa licence d'optique, nous étions dés 16h00 à Nort-sur-Erdre pour notre deuxième festival La Nuit de l'Erdre.
17 000 billet vendus quand même !

Au programme, pour la troisième fois, les Insus et leur nouvelle tournée "Dernier Appel".
Aubert, Bertignac et Kolinka ont une fois encore mis le feu au festival.
Idéalement placé, tout devant, j'ai pu profiter pleinement de ce grand moment et glaner quelques photos et vidéos.
Je ne me lasserai jamais de ces sonorités rock qui ont bercé ma jeunesse.
Aujourd'hui, je reprends certains de ces titres avec mon groupe The JAXS... le bonheur !

Autre belle découverte, le jeune groupe Last Train dont les couleurs rock nous ont indéniablement séduites.
RK
Page 8 - Article N°413