Après deux années d'absence, le Hellfest revient en force en 2022 avec deux weekend de festivités métalleuses.
Après plusieurs participations à ce festival avec mon fiston, cela faisait un bail que je n'était pas allé me farcir les oreilles de sonorités bien pêchues.

Avec Sylvain, mon pote batteur, nous n'avions pas réussi à acheter nos pass pour le deuxième weekend lors de leur mise en vente l'année dernière.
Il faut bien comprendre que la programmation de ce festival est tout simplement inouïe.
Les billets sont partis en un rien de temps.
Trop loin dans la file d'attente, nous avons été recalés.

La date approchant, Sylvain et moi toujours motivés, étions déterminés à trouver des pass sans passer par le marché noir, son risque d'arnaque et ses prix faramineux.

Restait donc le site de revente officiel TicketSwap que je surveillais depuis quelques semaines.
Et, voilà, nous avons décrochés nos sésames pour cette grande messe du métal et ses groupe prestigieux.
Pour ne citer que les têtes d'affiche : Metallica, Guns'n'Roses, Scorpions, Alice Cooper, Airbourne, Megadeth, Nine Inch Nails, ...

Là bas, je retrouverai mon fiston et ses potes rochelais ainsi que d'autres amis musiciens.

J'en connais quelques uns qui vont être fatigués le lundi 27 juin quand il iront bosser


Le site officiel du Hellfest

Et voilà, après 3 longues années sans marathon à l'étranger, Stockholm 2022 est venu rompre le sortilège covidien.

Le soleil était de la partie, tout un symbole.
Parti à midi pour 26,2 miles d'un parcours pas simple mais plaisant malgré toutes ces ondulations, ce deuxième rendez-vous sur la distance reine, en mode un peu moins convalescent, c'est bien terminé.
Les jambes ont mieux tenu qu'à Nantes.
Le rythme, bien meilleur, m'a permis de tenir un bon 10km/h.
Même si une gène est encore présente, le retour aux affaires sportives se présente bien.

Le résumé illustré de ce périple suédois viendra sous peu alimenter la page dédiée à ce 57^ème opus.

La page dédièe à cet événement

Quelques mots en ce début d'année 2022.

Je n'ai pas encore eu l'occasion de vous souhaiter une bonne année, alors, je profite de ce billet pour vous présenter mes vœux. Que 2022 veuille bien vous apporter tout ce que vous désirez et vous épargne toute forme d'épreuve.

2021 aura été de mon côté une modeste année.

Côté course à pied, 2 compétitions quand même : mieux que la page blanche de 2020.
Le trail des 3 provinces à Clisson (38 km) et le Trail Urbain Nantais (15 km) resteront mes seuls faits marquants positifs pour cette année.
Une tendinopathie aux ischio-jambiers en cadeau de fin d'année m'aura privé du semi-marathon de Nantes et de mon rendez-vous marathon à La Rochelle.
En ce début 2022, kiné et reprise en douceur sont au programme.
Aucun objectif affiché pour l'instant même si j'ai sous le coude les inscriptions pour les marathons de Nantes, San Francisco et du Médoc.
L'avenir sanitaire nous dira si ces projets ont une chance de voir le jour.

Côté musique, bah, peu de répétitions pour cause de contraintes sanitaires, peu de concerts pour cause de contraintes sanitaires…
Le business n'a pas encore repris ses marques et les dates se font rares.
The JAXS suit donc son petit bonhomme de chemin en attendant des jours plus fastes.

Ca ne respire pas encore le pur bonheur tout ça.
Mais, on reste positif : les jours meilleurs vont arriver, c'est certain.
restez connecté

Deuxième dossard pour 2021 !

Après avoir renoncé au Trail de Mauves en Vert pour cause de cheville abimée, j'avais à cœur de rechausser mes running pour cette 95^ème édition du Trail Urbain Nantais, trail dont je ne compte plus le nombre de mes participations.

Côté cheville, toujours une certaine inquiétude : mon entorse prend du temps à se réparer complètement et, même en ne forçant pas trop à l'entrainement, elle tiraille encore un peu. Donc la prudence devait être de mise en ce dimanche matin.

5°C, seulement, pas chaud !
Arrivé à la mairie de Chantenay vers 8h15, je pars récupérer mon dossard, le N°514, couvert comme en hiver, muni de mon pass sanitaire et de mon masque, sésames indispensables pour accéder au bâtiment et prendre part à la course.
Je retourne ensuite me mettre au chaud dans ma Scénic et, bouquin en main, je patiente jusqu'à 9h30 pour partir faire mon échauffement.
L'occasion, comme toujours, de retrouver plein de monde que je connais et de tchatcher à l'envi.

Le soleil pointe ses premiers rayons.
Alors, j'opte pour les manches courtes de peur d'avoir trop chaud en plein effort...
Je me glisse dans la masse des coureurs attendant le départ et profite alors d'une chaleur bienvenue.
Quelques minutes plus tard, 10 heures pile, c'est parti.

Comme d'hab, l'objectif est de m'extraire du gros du peloton pour aborder sereinement les premiers ralentissements dus aux goulots d'étranglement variés que propose le tracé de la course.
Départ en descente et, malgré une remontée pour aller vers le parc des Oblates, je boucle le premier kilo en 4'15".

La remontée du parc des Oblates va vite me calmer : les enchainements de montées, faux-plats et décentes suivantes également.

Plus l'habitude de me booster et de courir vite, j'ai le souffle un peu court et profite de chaque occasion pour récupérer.
Pas d'arrêt ravitaillement non plus pour éviter de potentielles relances difficiles.
Je gère plutôt bien mon affaire.

Comme je m'y attendais vers le 6^ème kilo, ma cheville commence à se manifester. Juste un petit tiraillement mais suffisant pour de donner l'alerte.
Je vais donc faire gaffe lors des différentes ascensions de la Butte Sainte-Anne à ne pas trop solliciter mon articulation.
J'y laisserai un peu de temps mais j'ai le semi de Nantes en vue et je ne dois pas hypothéquer mes chances d'y participer.
Malgré tout, je garde un tempo correct et, du coup, le souffle s'y retrouve lui aussi.

Toujours le même plaisir à sillonner le quartier de Chantenay, ses ruelles, ses parcs.
Le soleil est de la partie, la température remonte vite, et les spectateurs, massés un peu partout, nous encouragent. Top !

Première boucle, deuxième boucle même combat.
Je suis à l'écoute de ma cheville et donne juste ce qu'il faut pour ne pas avoir trop mal tout en continuant à cadencer ma foulée.
Explosé en hauts des marches de la butte, je prends le temps de récupérer pour relancer.

Le dernier faux-plat qui mène à l'arrivée et toujours aussi long.
Le portique final met toujours autant de temps à se rapprocher.
Je n'ai personne avec qui lutter pour gagner (ou perdre) une place au classement car les écarts avec mes prédécesseurs et mes poursuivants son conséquents.
Alors je finis au mieux sans m'exploser.

1h12'28" pour 15,6 km : tiens, avec les différentes modifications du tracé pour causes de travaux, ils nous ont rajouté un peu de distance sur les 14,9 annoncés.

Ravito, récompense, au soleil, j'en profite pour retrouver des amis et faire le débrief de la course.
En refroidissant, ma cheville devient un peu douloureuse.
Elle n'a pas lâché, c'est déjà ça mais il va falloir que j'en prenne soin dans les prochains jours.
Mes cuisses, elles aussi, manifestent leur mécontentement. Faut dire qu'il y avait longtemps que je ne les avais pas soumises à un tel effort.

Je repars comme toujours bien content de ma matinée.
Toujours aussi fan de ce trail urbain, de son tracé, de son organisation aux petits oignons.

J'ai maintenant trois semaines pour m'en remettre et envisager ma première participation au semi marathon de Nantes.

Le site du MSC Nantes

Bon, ça faisait longtemps

Longtemps que je n'avais pas acheté une guitare

Nouveau projet en vue, en acoustique cette fois.
Alors, il fallait que je m'équipe.
Voilà, c'est fait avec cette superbe électro acoustique pan coupé de chez Lâg.

Une bonne affaire que cette guitare achetée sur le stock B de chez ALGAM : stock d'instruments présentant un défaut esthétique n'altérant pas le jeu de l'instrument : pour la mienne, le vernis au dos présente quelques bulles... mais, c'est au dos !

Mes premières impressions sont très bonnes : beaucoup plus facile à jouer que la Takamine G Series achetée à mes débuts (et que je vais chercher à revendre) , moins volumineuse, son claquant.

J'ai maintenant devant moi de belles heures de travail en perspective.
Let's rock'n'roll !

28 décembre 2019, la Corrida de la Beaujoire, dernier épisode d'une année riche en beaux événements mais également dernière compétition avant une longue traversée (sanitaire) du désert.

Courses annulées, re, re, reportées, 2020 et 2021 ont vu mes grands projets s'évaporer avec le temps.
Vaccination et pass sanitaire on remis au goût du jour les événements sportifs.
Il était grand temps de retrouver les sensations de la compétition.

J'ai donc choisi le trail des 3 Provinces à Clisson pour faire mon come back.
Ok, je ne suis pas fan des courses en après-midi mais, après consultation des prévisions météo qui n'annonçaient pas de fortes chaleurs et l'attrait irrésistible du site du Hellfest, j'ai franchi le pas.


Me voilà donc vers 12h30, ce samedi, garé sur un parking proche du site.
Je découvre le Hellfest et ses imposantes installations permanentes sans festivalier : une première pour moi qui ne le connais que plein à craquer et peuplé de démoniaques décibels.
Soit dit en passant, je n'ai pas réussi à avoir un pass pour l'édition 2022 : si vous avez un plan, je suis preneur !

Les runner ont donc remplacé les festivaliers.
L'ambiance n'est pas la même, on est d'accord
Je présente mon QR code en échange d'un petit bracelet bleu qui m'évitera par la suite d'avoir à trimbaler mon mobile avec moi pour justifier de ma bonne foi (sanitaire).
Je récupère ensuite mon premier dossard de l'année, le N°78 ainsi qu'un t-shirt commémorant la 10^ème édition de ce Trail des Trois Provinces.
J'ai opté pour le format 'Poitou', le plus long, soit 38 kilomètres.

Je retourne à ma voiture pour me mettre en tenue.
Erik Clavery, venu en guest, discute avec des bénévoles... et repart continuer son échauffement.
Vu la distance, moi, je mise sur les premiers kilos pour mettre en chauffe le moteur.
Je retrouve sur site Candice qui a couru le 10 bornes la veille et Seb qui s'alignera sur le 23km 20 minutes après mon départ.

Masque sur le museau, je me présente dans le sas quelques minutes avant le départ.
Je me mets volontairement en queue de peloton.
En manque de repères physiques, sur un parcours inconnu, je préfère partir sur la réserve.
Pas vraiment d'objectif, si ce n'est de finir sous les quatre heures, soit un peu moins de 10 km/h de moyenne.

13h40, War Zone, le départ est donné sous les acclamations des spectateurs et autres coureurs attendant leur tour.
Retrouver cette effervescence me fait du bien.
Lemmy (Kilmister, Motörhead), du haut de sa stèle, nous donne sa bénédiction.
Nous quittons le site du Hellfest pour la première des trois boucles - toutes différentes - d'une distance de 12,5 km.

Le long de la Sèvre nantaise, au fil de la cité médiévale de Clisson, le tracé est varié et très agréable. Aux terrasses, les touristes nous regardent comme des bêtes curieuses.
Quelques petits casse-pattes quand même, des cailloux, des racines, la vigilance est de mise.
Des traces où on n'a d'autre choix que de courir à la queue leu leu, des propriétés privées ouvertes pour l'occasion.
Pas à dire, le tracé est super chouette.

Suite d'une entorse contractée il y a peu, mon talon droit se fait remarquer par une légère douleur au bout de 7 km seulement.
Douleur supportable, pas trop gênante, mais qui s'intensifiera petit à petit.
Je pointerai à la 77^ème position à l'issue de cette première boucle qui nous ramènera en enfer pour recharger nos réserves d'eau.
Ah oui, j'oubliai, cette course est en auto suffisance : pas de ravito, juste de l'eau à disposition à chaque passage sur site.

Côté météo, je trouve qu'il fait un peu chaud quand même. J'apprécie les portions ombragées et, heureusement, il y en aura pas mal.

Deuxième boucle avec passage dans les vignobles.
Et première gamelle dans une décente un peu abrupte et technique : racine : 1 - JC : 0
Pas de bobo, juste de la poussière, de la poussière... avec la transpiration, le top
Sur la fin de ce deuxième tour, notre route rejoint celle des concurrents du 23 km parti 20 minutes après nous.
Il y a un monde fou sur site : encouragé comme pas deux, je suis sur mon petit nuage.
Jack, que je n'ai pas revu sur un trail depuis un bail, me donne quelques encouragements lui aussi.
Lemmy de redonne de l'élan pour la dernière boucle.
Je pointe au 55^ème rang. C'est vrai que j'ai dépassé quelques coureurs mais, comme d'autres m'ont doublé, ben, je ne m'en doutais pas vraiment.

Troisième partie signe de solitude : après plus de 25 km, les 180 participants du 38 km sont maintenant bien étalés.
Beaucoup de traces et de parties accidentées avec roches et racines : ça use.
J'essaye de ne pas trop baisser de rythme mais ça devient dur.
Au km 30, descente sous un pont, passage dans l'eau, froide, bien froide, jusqu'à mi-cuisse : pas terrible pour les pieds mais les muscles de mes guiboles, eux, apprécient.
Je retrouve un peu d'allant.
Juste assez pour me vautrer une deuxième fois dans une descente compliquée : racine : 2 - JC : 0
Poussière, poussière et quelques égratignures bénignes au genou droit.
Un début de crampe dans le mollet au moment de me relever... ça sent la fatigue.
C'est vrai que j'avais oublié : 38 bornes, c'est long !
Et le parcours est usant.

Je double quelques coureurs qui, eux, marchent.
Me fais dépasser par la première féminine et son coach du jour.
Ma cheville gauche devient très sensible. Heureusement, elle va tenir jusqu'au bout.
Un début de point de côté me taraude alors qu'il ne me reste plus que quelques centaines de mètres à parcourir. Quelques secondes d'arrêt pour soulager mon diaphragme.
Je passe une dernière fois aux pieds de Lemmy et franchis avec joie ma première ligne d'arrivée de la saison.

Je suis bien cramé il faut le dire.
Mais 38 bornes en 3h39', c'est plutôt une bonne nouvelle.
Je récupère un petit ravito, une bouteille de muscadet et fonce au poste de la protection civile pour faire nettoyer mon bobo au genou.
Un bénévole me fera un joli pansement : mon premier sur une compète

Bilan, 44^ème sur 153 classés et 2^ème de ma catégorie.
Très positif.
Un beau trail pour ma reprise.
Une organisation bien rôdée.
Des bénévoles très sympas.
Le trail des 3 Provinces , quelle qu'en soit la distance, je vous le recommande vivement.

Il me reste maintenant à récupérer et à prendre soin de ma cheville car le prochain objectif sera dans deux semaines à Mauves-sur-Loire.
Une idée de la distance ?

Depuis 9 ans, je cours avec ma montre GPS Garmin Forerunner 310XT.
J'avoue avoir trouvé là un excellent produit.
Même la batterie donnée initialement pour 20 heures d'autonomie en mode GPS, tient encore largement plus de 12 heures après tout ce temps et les nombreux rechargements qui on jalonné sa carrière.
Excusez du peu : à ce jour, en 9 ans, 2006 utilisations pour 2920 heures de fonctionnement et 29 374 KM parcourus, de bien belles pages de course à pied écrites avec cet équipement, par tous les temps, sur tous types de terrains et sur de nombreux continents.

Mais voilà, si je vous en parle aujourd'hui, c'est que tout à une fin.
Et celle de ma 310XT semble s'approcher.
Des traces de condensation apparaissent régulièrement depuis quelques temps : l'étanchéité du produit est un lointain souvenir.
Et depuis presque deux semaines, de grosses gouttelettes se sont formées à l'intérieur du cadran rendant inopérants les boutons d'action de manière aléatoire.
Impossible de démarrer la montre ou alors impossible de l'arrêter, son utilisation est devenue chaotique et aléatoire.

Alors, hier, je suis parti à l'assaut du WEB pour trouver sa remplaçante.
Il faut dire que je m'intéresse au sujet depuis déjà pas mal de temps me disant que plus le temps passe et plus les chances de panne de ma 310XT augmentent.

Attaché à la marque GARMIN qui m'a toujours donné satisfaction avec la Forerunner S405 puis ma 310XT, j'avais dans le viseur les modèles INSTINCT, 735XT et 935.
Toujours avec un critère prépondérant, l'autonomie en mode GPS.

Alors, soldes et réductions de réductions aidant, j'ai craqué pour une Forerunner 935.
24 heures d'autonomie en mode GPS et 50 en mode UltraTac^TM.
Plein de fonctions dont beaucoup me seront inutiles : pour moi, distance, temps, dénivelé, cardio éventuellement me suffisent amplement.
Par contre celle-ci donne l'heure et peut être utilisée en montre classique, ce qui n'était pas le cas de la 310XT.
Toute fine avec un design noir sobre et classique, elle est plus discrète que mon épaisse et orange 310XT.

La passation de pouvoir va bientôt débuter.
Si elle daigne évacuer son humidité, je n'utiliserai plus ma 310XT que par temps sec jusqu'à ce quelle rende son dernier souffle.
Avec l'arrivée de l'automne et de météos moins clémentes, la 935 prendra naturellement le relais.

Dernier footing pour 2020 ce matin sous un beau soleil et une température frisquette.

Il est temps de faire le bilan avant d'ouvrir la page 2021 de ce blog.

Alors, rétro zéro ?

Ben, oui, sur le plan compétitions.
En 2020, tous mes projets marathons sont tombés à l'eau.
Tromso, San Francisco, Médoc, Nantes, Amsterdam... tout à coulé sous le poids de ce virus qui s'est invité dans notre quotidien.
Aucun dossard, même local, rien.

Par contre, les deux confinements, synonymes de fermeture de ma piscine favorite, s'ils ont freiné mes entrainements de natation, ont favorisé mon planning course à pied.
Et oui, pour compenser, j'ai couru un peu plus, un peu plus longtemps.

Même si j'ai un peu lâché prise en début d'année car j'avais besoin de récupérer de mon année 2019 assez chargée, notamment avec les 100 km de Millau, j'ai graduellement augmenté mes doses au fil des mois.
J'ai également profité de cette reprise pour abandonner quelques kilos sur la balance : le sport, c'est bien, mais il ne faut pas s'arrêter sinon la sanction est immédiate

Et donc, faute de beaux souvenirs, j'ai tapé quelques records persos.
Record du nombre annuel d'entrainements : 238 quand même !
Record du nombre annuel de kilomètres parcourus : 3 393 km, mieux qu'en 2019.
Record du nombre mensuel de kilomètres parcourus : 457 km pour 26 sorties en décembre.
Record du nombre hebdomadaire de kilomètres parcourus : 114,6 km pour 6 sorties en semaine 50.
Petite consolation, certes, mais je ne suis par resté inactif

Les projets course de 2020 sont pour la plupart remis à 2021.
Nantes est déjà out et reporté à 2022.
Qu'en sera-t-il pour les autres ?
Impossible de le dire.

Côté musique, avec The JAXS, pour cause de salle fermée, on a perdu presque 6 mois de répétitions et quelques beaux concerts.
Le garage de Stephane nous a sauvé la mise en juillet et août.
Trois dates on sauvé leur peau en septembre et octobre et nous ont permis de glaner quelques soirées de bonheur partagé avec un chouette public.
On ne sait quoi penser pour les mois à venir.

Voilà, le maigre bilan de cette triste année 2020.
Malgré tout, on garde le moral et l'espoir que 2021 reverra refleurir compétitions et concerts.

Bon réveillon à tous et toutes

Eh oui, j'ai encore un peu d'énergie inutilisée en cette période de vaches maigres côté compétition et concert avec The JAXS.
Ça me faisait envie depuis des mois... ça y est, j'ai craqué

Et voilà ma dernière acquisition.
Des promos chez Thomann.
Commandée vendredi dernier.
Livrée mercredi après-midi.
2 bonnes heures de montage et, une heure après, je commençais à appréhender avec succès mon premier Poum-Tchack
De quoi me défouler à l'envi (et non, pas à l'envie).

Guitare, basse, piano, batterie... ma soif de musique n'a pas trouvé sa limite

Voilà, les reports s’enchaînent au fil des semaines.

Il fallait s'en douter, le marathon de San Francisco 2020 est reporté au mois de novembre.
Pas la meilleure saison pour aller séjourner aux US.
Mais heureusement, il était possible de reporter son inscription sur l'édition du 25 juillet 2021.
Après consultation avec de potes agenais, c'est cette option qui a été retenue.
Pas sûr que Gaël puisse obtenir deux années de suite des vacances fin juillet Peut-être n'irons nous que tous les deux avec mon Isabelle. Un peu les boules moi qui me faisais un joie de mettre notre fiston dans nos bagages !
Hôtel annulé sans frais.
Reste les billets d'avion que j'espère pouvoir me faire rembourser... à défaut, j'aurai un bel avoir à dépenser chez Air France.

On espérerait un peu qu'il résiste à la tempête.
Ce ne sera pas le cas, après Nantes, Tromso et San Francisco, voici mon 4^ème report marathon. Ce sera mon seul record - peu glorieux - de l'année
Le marathon du Médoc, tire lui aussi sa révérence pour 2020.
L'inscription de notre groupe nantais - nous étions 19 - est reportée au 11 septembre 2021.

2020 sera-t-elle pour moi une année sans marathon ?
Peut-être pas, mais il va falloir y croire... et attendre que les choses évoluent sanitairement dans le bon sens