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La préparation

Emil Zatopek
Depuis plus de deux ans, le marathon d'Helsinki était sur mes tablettes. La lecture de plusieurs récits enjoués m'avait alors décidé.

Ses atouts ?
Tout d'abord, il a lieu en août. Idéal pour un nouveau marathon en famille.
Ensuite, Isabelle et moi souhaitions découvrir un pays nord européen, contrée que nous n'avons encore jamais foulée.
Personne pour nous accompagner sur ce coup là : nous partirons donc, comme en 2007 à San Francisco, dans l'intimité familiale pour une semaine de vacances orientée détente.

En 1952, Pavoo Nurmi portait la flamme olympique en ouverture des jeux d'Helsinki et Zatopek s'adjujait le titre sur l'épreuve reine du marathon. Après Athènes, c'est un marathon chargé d'histoire et le mythique Olympiastadion qui m'attendent.
  •   Février : un moment de faiblesse
  • 01/02 : forcé à l'immobilité en pleine préparation pour le marathon de Valence par une vilaine contracture dans le dos, j'avais besoin de... compenser.
    Je me suis donc lancé dans mes traditionnelles recherches sur le WEB. Moins d'une semaine aura suffi pour figer mes choix.
    J'ai commencé par chercher un guide touristique de la ville : histoire de voir quelles étaient les activités possibles et ainsi définir la durée de notre séjour. J'ai mis la main sur une belle brochure en français éditée par l'office du tourisme trés riche en informations et en téléchargement libre.
    Ensuite, la logistique : vols réguliers Lufthansa (pas de low cost au départ de Nantes et Paris) avec escales en Allemagne et 7 nuits dans un hôtel 4 étoiles à 500 mètres du stade olympique avec piscine et sauna feront l'affaire.
    4 étoiles, pourquoi ce soudain goût pour le luxe ? Tout simplement parce que cet hôtel qui vise une clientèle familiale, héberge gratuitement les enfants. Ca compte !
  • 01/02 : inscription en ligne pour le marathon (65 €).
    Je porterai le dossard N°1516.
    Confirmation d'inscription
  • 22/02 : malgré une préparation chaotique, ce marathon de Valence, dont j'ai bien géré l'allure, est passé en douceur. Une nouvelle expérience trés positive ajoutée à mon carnet de route que je vous invite à partager dans sur la page dédiée.
  •   Juin : deux marathons plus loin
  • 17/05 : après Valence, le Mont-Saint-Michel est venu s'additionner à ma collection de bons souvenirs avec, cerise sur le gâteau, une bonne prestation à la clé.
    Début Juin est donc synonyme de répit dans mon planning, de relance en douceur pour la reprise d'une préparation foncière le 22.
    Pas d'objectif de chrono sur ce marathon. Je limiterai ma performance à la prise maximale de plaisir.
  • 20/06 : un 10 km à Sainte-Luce-s/Loire, c'est ce qu'il me fallait pour sortir de ma léthargie post Mont-Saint-Michel et à la veille du début de ma préparation.
  • 22/06 : c'est parti pour 8 semaines d'une préparation que vous pourrez suivre ici :

    >>> consultez mon carnet d'entraînement <<<

  •   Juillet, Août : du mieux possible
  • Inscription 03/07 : depuis une bonne semaine la chaleur est devenue difficile à supporter. Avec plus de 30°C, je souffre du manque de sommeil et mes jambes semblent un peu plus lourdes qu'à l'accoutumée. Pas le choix, j'ai abaissé ma vitesse d'entraînement et bien pris soin de m'hydrater.
    Au courrier hier, m'attendait une missive en provenance d'Helsinki ; à l'intérieur, une petite affiche, le programme des rejouissances et ma 'Registration Card', sésame pour le retrait de mon dossard.
    A 6 semaines du départ, tout se présente bien.
  • 14/07 : la canicule à laissé place à la douceur et à l'humidité. Pas de semi dans la région, alors j'ai décidé de me booster sur les 10 Km de Saint-Herblain.
    Un chrono respectable de 39'55" au vu de conditions météo pas terribles : une pluie battante nous a en effet cueillis aux abords du 4ème Km.
  • 08/08 : la dernière 'longue' sortie de ce matin est venue ponctuer une préparation sans encombre. Un peu fatigué comme à chaque fin de prépa : reste une semaine pour récupérer. Une semaine un peu 'tristounette' suite à l'incident cardiaque qu'à subit mon Double et qui m'a bien perturbé. Mon prochain départ lui sera dédié. J'aurai du mal à ne pas y penser pendant ma course.
  •  Météo :
  • Au 8 août, prévisions météo pour samedi 15 au départ de Helsinki sur fr.weather.com :
    Meteo plutôt ensoleillé, mini 14°C - maxi 19°C, risque de précipitations 20%.
  •   Organisation
  • A/R Nantes-Paris : en voiture pour enchaîner au retour avec un séjour dans mon Yonne natale.
  • Vol : Lufthansa, départ le 14 Août à 6h40 et retour le 21 Août à 18h30 (coût vols + hôtel : 1602€)
  • Hôtel : 7 nuits au Scandic Continental 4* (avec piscine, sauna et petit déjeuner).
  •   Infos marathon
  • Inscription : 65 € (de 55 à 80 € selon la période)
  • Départ : 15h00, stade olympique
  • Le parcours :
Parcours
Le dossard
Ma première expédition dans le grand nord, m'a donc permis d'ajouter un 20ème marathon à mon palmarès.
Toutes les conditions étaient réunies pour me faire passer un excellent moment.
La médaille

Le récit

Vendredi, veille du grand jour, après un lever à 3 heures du matin pour rejoindre l'aéroport Charles de Gaulle, quelques heures de vol ponctuées par une escale à Franckfort, moi et ma petite famille atterrissions à Helsinki.
Une navette bus plus tard, nous étions à notre hôtel au coeur de la ville.
Pas d'amis à nos côtés, pas de rendez-vous CLM programmé, notre séjour marathon se voulait familial avant tout.
  •  L'expo marathon :

  • Vendredi àprès-midi, après une petite sieste, nous nous rendions à pied à l'expo proche du stade olympique pour récupérer puce et dossard. Au moins 500 mètres de distance quand même !
    Petite expo, peu d'exposants mais une organisation sans faille et un guichet spécial pour les étrangers, bref, en moins de 15 minutes, j'avais fait le tour du hall et récupéré mon N°1516, ma puce et un T-shirt technique vert à l'éffigie de l'événement.
    Tous mes marathons sont source de rencontre, celui-ci ne dérogera pas à la règle. Sur le chemin de la sortie, nous serons abordés par Xavier, un coureur de Langres (Haute-Marne) qui a déjà fureté sur mon site. Quelques mots échangés pour mon plus grand plaisir. Vous verrez, ce ne sera pas tout.
  •  Le marathon :

    Frise
  • Inhabituelle cette journée marathon !
    Pas de réveil à cinq heures du mat pour un petit déjeuner en solitaire. Non, un réveil tranquille, un petit déjeuner en famille. Même pas préparé mes affaires à l'avance !
    Avec un soleil superbe, pas question de rester cloitrés dans notre chambre en attendant le début d'après-midi. Nous sommes donc allés découvrir à pied le centre ville. Une bonne heure de marche plus tard, nous rentrions pour que je me prépare. Pas sur que ça m'ai vraiment rendu service pour la course mais peu importe, l'objectif du jour était simplement de boucler mon 20ème marathon.
    Inhabituels aussi les préparatifs : tenue de course directe ! pas besoin de sac poubelle, de blouson, de sac à laisser à la consigne. Je pars de l'hôtel en compagnie des miens et en tenue de course, t-shirt 'France' et short blancs traditionnels.
    C'est également la première fois que mes supporters de coeur seront présents au départ d'une de mes courses. Je ne leur impose jamais mes départs matinaux.
    Tout comme moi, mon portable commence à vibrer. Evelyne ouvre le bal avec ses encouragements pour le N°1516 deux heures avant le départ.
  • L'ambiance aux abords du stade est calme. Tout le monde se prépare, se concentre dans le calme, les uns assis sur les pelouses, les autres debouts à discuter.
    Nous, nous choisissons, de rallier la zone de départ pour examiner les lieux. C'est là que nous serons rejoints à notre plus grande surprise par Philippe (LeNoeuxois sur CLM) et sa compagne, dont nous avions fait la connaissance à Barcelone. Et moi qui pensais être le seul CLM sur ce marathon ! J'entame mon reportage photo.
  • Peu avant 15 heures, je rejoins le 'sas' des 3h30. Il ne s'agit pas vraiment d'un sas mais plutôt d'une zone simplement balisée par un petit panneau jaune. De toute façon, pas de bousculade, tout se passe toujours dans le calme et sous un soleil qui commence à me chauffer le crâne.
    L'heure du départ est vite là. J'ai une petite pensée pour mon Double, cloué au sol par un palpitant réfractaire. Je fais un voeux. Le speaker amorce le décompte dans un anglais approximatif : ten, nine, ....six, five, four... Pan, le starter, lui, à donné le top départ à 15 heures pile.
    Je filme mon départ puis me déporte sur la droite où je sais devoir retrouver les miens. Trop de monde, je ne les verrai pas. Eux, si !
    Une petite angoisse me gagne rapidement. Je ne sais pas pourquoi : et si je ne le terminai pas celui là, incapable de faire progresser mon compteur. Cette petite angoise, je me la trimballerai tout le long. Bizarre ou peut-être pas.
  • Le parcours débute par une boucle de 3 kilomètres autour du site olympique. Le peloton est déjà trés concentré. Le public présent au rendez-vous est heureusement plus expressif. Au 3ème km, je repasse devant mon hôtel. Puis nous plongeons vers le centre et bifurquons direction les bords de la baltique aux abords du 5ème.
    A partir de ce moment, nous allons courir sur le réseau de pistes cyclables : il est totalement décorellé du réseau routier et évite à l'organisation d'avoir à couper la circulation. Pour les coureurs, c'est assez agréable.
    Le peloton s'est rapidement étiré. Pas de bouchon sur ces premiers tronçons. Je fait un brin de causette avec un parisien qui est ici car il a des attaches sur place tout comme Xavier que j'ai rencontré la veille.
    Mes sensations sont bonnes sur ces premiers kilomètres. Je cours sur une base de 3h40'.
    Mentalement, je compte. 53 minutes pour boucler mes 10 premiers. Au 11ème, je me dis, 19 1/4.
    Mon portable émet son cuicui traditionnel vers le 15ème. C'est Symphorien qui m'encourage lui aussi. De peur de me gauffrer, je ne lirai son message qu'une fois de retour à l'hôtel.
  • Jusqu'au 18ème, pas grand chose à raconter si ce n'est que le parcours est agréable car trés varié : alternance de portions boisées, en bord de mer, petits sentiers, ponts, ports, marina, rendent le tracé trés attractif.
    Malgré tout, ce n'est pas un parcours ultra plat. De multiples ondulations et petites côtes jalonnent notre avancée.
    A ce petit jeu, je ressent les prémisces d'un début de fatigue. Je conserve quand même le rythme sans trop forcer.
    C'est également à ce moment de la course que je croise, en sens inverse, les premiers qui en sont déjà au... 31ème. Les écarts sont énormes. Le premier kényan n'est que troisième. C'est un russe qui gagnera ce marathon en 2h22'.
  • Au semi, alors que nous retrouvons le centre d'Helsinki, j'entends mon premier Allez Jean-Claude !. C'est Xavier qui est là à m'encourager, lui que je croyais dans la course. Ses encouragements me font énormément de bien mais me laissent dubitatif : que fait-il là ?
    1h48', la cadence est encore bonne.
    19 1/2 !
    Un oeil sur les quelques paquepots immenses amarrés puis nous abordons le coeur de la ville par son port et son marché vieux de 120 ans. De nouveau nous croisons ceux qui vont un peu plus vite.
    Cette partie est vraiment trés agréable car une foule trés dense et trés démonstrative nous y attend. Le seul inconvénient, c'est que de gros pavé en constituent le sol. Et des gros pavés sur lesquels il est plus facile de se tordre une cheville que de courir, nous allons en manger pendant trois bons kilomètres.
    Alors que le parcours fait demi-tour pour nous éloigner du centre et revenir sur nos pas, les ondulations combinées aux pavés finissent par confirmer mon impression d'usure. Il va falloir que je lâche du lest.
  • Le 30ème s'annonce en 2h33'. C'est plutôt bien mais je sais que je suis en surrégime. J'en connais bien les signes maintenant.
    19 3/4 !
    Je retrouve cette portion où les plus rapides croisent les plus lents mais cette fois-ci dans le bon sens. Je croise les meneurs d'allure à 5h00 puis 5h30. Ceci me fait penser que jamais je n'ai aperçu de ballons jaunes pour les meneurs à 3h30 pas même au départ.
    Depuis le départ, environ tous les trois kilomètres, alternent des ravitailements en eau puis en boisson énergétique, chacun en gobelet. Parait-il que certains proposaient les fameux cornichons locaux mais moi, je ne les ai pas vus.
    Nous quittons la ville pour retrouver les portions 'vertes' et en bord de mer.
  • Alors que j'aborde le 34ème kilomètre, comme à New-York et Madrid, un subit point de côté me lance dans le flanc droit. Douleur insistante, je n'ai pas le choix, un arrêt étirement s'impose.
    Je marche tout en m'étirant mais il faut de longues minutes pour que cesse le tiraillement. Quand, enfin, je peux me remettre à trottinner, j'ai totalement perdu le rythme. J'ai les jambes coupées. Je sais alors que la fin sera longue : ça sert à ça l'expérience !
    Je vais donc trainer mon manque d'énergie et mon point de côté jusqu'à l'arrivée. Je ne regarde plus mon chrono. Seule compte l'arrivée. Peu importe le reste.
    Au 36ème, Isabelle m'appelle sur mon portable. Je lui dis que tout va bien et que je vais être 'un peu' long sur les derniers kilos.
  • Finalement, même si j'alterne course quand je peux et marche quand j'ai trop mal aux côtes, je ne m'ennuie pas car le parcours est chouette, les spectateurs encourageant mes moments de détresse physique.
    Une dernière côte amorce l'arrivée vers le stade olympique. Je trottinne plus que je ne cours mais je sais que je le tiens mon 20ème bonheur.
    Je serai quand même obligé de m'arrêter car je retrouve Xavier et sa compagne tout sourire qui me félicitent déjà. Je m'arrête donc, leur serre la main, les prends en photo et reprends le cours de ma descente vers l'arrivée.
    Comme à mon habitude depuis plusieurs marathons, je filme mes dernières foulées et m'arrête sous les vivas pour prendre un cliché de mon 20ème portique d'arrivée. Isabelle est là, camescope à la main. J'en oublie de couper mon chrono.
    Le reste n'est que routine : retrait de la puce, remise d'une belle et lourde médaille, retrouvaille avec les miens.
    Une fois encore, je suis heureux. De ce long moment de satisfaction, je ne suis pas encore blasé.
  • Sur le chemin du retour, alors que je pose pour une petite photo en compagnie de ma médaille, un monsieur, originaire de Tallinn nous expliquera-t-il quelques instants plus tard, se propose pour nous prendre en famille. Nous acceptons volontier : la photo a déjà rejoint l'album de mon blog.
    Nous bouclons les 500 mètres qui nous ramènent à notre hôtel. Il est 20 heures, le soleil qui a baigné cette belle journée s'eclipse laissant la fraîcheur du soir nous gagner.
    un petit frisson me donne la chair de poule. Vivement le prochain.
  • Mon double et Symphorien, je le verrai le lendemain sur mon blog, ont rapidement réagi.
    C'est là, avant même d'aller consulter le site officiel, que j'y lirai mon résultat : 3h55'47" et 1458ème sur 4939.
  •  Helsinki :

  • Ma récupération fût donc touristique. En guise de bilan, voici les faits marquants de notre séjour.
    Pas de souci côté transport : les vols réguliers Lufthansa avec escales (Frankfort à l'aller et Munich au retour) se sont déroulés sans problèmes (tout comme lors de notre périple à San-Francisco en 2007).
    Une navette bus Finnair, nous a conduits à l'aller comme au retour en moins de 30 minutes de l'aéroport à notre hôtel (5€90 pour les plus de 12 ans).
    Sur place, bus et tramway nous ont permis de nous déplacer trés facilement y compris hors agglomération. Nous n'avons pas eu besoin de prendre le métro. Les forfaits de un à 3 jours (1/2 tarif pour les enfants) sont trés avantageux.
    Bien sur nous nous sommes énormément déplacés à pied car l'hyper centre et ses centres d'intérêts étaient assez proche de notre hôtel.
    Je ne saurai vous recommander de louer des vélos tant le réseau est étendu et bien protégé de la circulation que ce soit en ville comme dans la région avoisinante. Avec carte à l'appui, de beaux circuits sont proposés.
  • En dehors de quelques monuments bien caractéristiques (la gare, la cathédrale, les églises orthodoxes, le palais gouvernemental) la ville est plutôt austère. Comprendre l'écrit est un véritable défi mais, comme tout le monde parle anglais, nous n'avons pas eu de problème pour communiquer et obtenir ce que nous voulions.
    Helsinki est une ville humide (275 jours de pluie par an en moyenne) et, en été, la moyenne des températures ne dépasse pas 22°C. La pluie a donc perturbé 3 jours de nos vacances mais ne nous a pas bloqué pour autant.
    Voici ce que nous avons fait et que nous vous recommandons :

    • La forteresse de Suomenlinna : un quart d'heure de navette maritime (inclus dans le forfait ou les titres de transport classiques) pour atteindre cet ensemble d'iles, hébergeant des garnisosns il y a à peine 30 ans, transformé en bastion de défense contre les armées russes par les suédois. Prévoyez plusieurs heures pour la ballade et la visite.
    • Le musée de plein air de Seurasaari : à 20 minutes en bus (ligne 24) du centre, une petite ile libre d'accés où sont regroupés différents habitats traditionnels (dont certains ont plusieurs centaines d'années) rapportés de toute la Finlande. La visite des intérieurs constitue une partie payante trés intéressante : 6 € pour les adultes, gratuit pour les enfants.
    • Le vieux marché sur le port. Un moment de détente dans ce batiment vieux de 120 ans. Un marché de plein air est également à proximité (artisanat, produits locaux, restauration)
    • Le parc d'attraction de Linnanmäki (Tram ligne 3B). Attention, les attractions ne commencent qu'à 16 heures même s'il fait beau. Un moyen facile de faire plaisir au plus jeunes quand on leur a fait parcourir la ville dans tous les sens et qu'ils en ont un peu marre.
    • Plusieurs compagnies proposent des croisières. Nous avons opté pour un tour d'une heure trente à la découverte des iles qui composent la ville. Trés abordable, cette ballade, trés instructive, nous a bien reposée après de longues journées de marche. Une petite pause kéké sur l'eau, rien de tel.

  •  Quel sera donc le prochain frisson ?

  • Sur les rangs de 2010 se bousculent déjà Séville (14 février) et Vienne (19 Avril).
    Quand à la fin 2009, rien en vue pour l'instant. Tout mes projets (Yvelines, Lausanne, Porto, Tozeur, Casablanca) sont tombés à l'eau pour une raison ou pour une autre.
    Mes collègues m'ont proposé Vannes le 18 Octobre. C'est un peu trop rapproché à mon goût. Si je récupère bien et arrive à relancer en douceur la mécanique, je céderai peut-être à leur proposition.


  •  La vidéo marathon :

  •  Ma course

Parcours
Le Diplome
Vos messages
U29/05/2009
Boisgard Jacky
J'ai fait ce marathon en 2004 et j'en garde un excellent souvenir. Helsinki et une ville accueillante comme ses habitants, c'est une ville à la campagne.
Si vous voulez découvrir les pays du nord, faites le MIDNIGHIT SUN MARATHON à Tronso en norvège, à 300 km au nord du cercle polaire. Il se déroule en juin à une période où le soleil ne se couche plus. Le départ se fait à 20 h 30. J'ai fait ce marathon l'an dernier, et courir au soleil de minuit le long de l'océan artique est vraiment une expérience unique.Pour info, je viens de faire celui de Cracovie en Pologne fin avril.
Bien sportivement
Jacky Boisgard
U03/08/2009
VAILLANT Pierrick
Salut Jean-Claude,
Merci pour tes multiples infos dont je me gargarise...
Bien on s'est vu samedi matin 1er août, tu étais sur ta sortie longue....et je t'ai donné l'dée du Marathon de Casablanca le 25 Novembre.
Au plaisir de t'y voir peut-être sur la ligne.
Dans cette attente: bonnes vacances et beaucoup de plaisir à Helsinki.
Merci !

Envie d'en parler, de me faire part de vos impressions ou d'en savoir plus pour, qui sait, y aller prochaînement. Ne vous privez pas il est là pour ça... mon livre d'or.

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