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Marathon de Venise... what else ?

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La préparation

Aprés l'euphorie New-Yorkaise, j'avais hâte de retrouver des sensations comparables. J'avais alors dit : "mon prochain marathon à l'étranger sera Québec". Finalement, c'est Venise qui s'est imposé pour cette deuxième participation à un marathon hors de l'hexagone.
Pourquoi ? le principal argument est financier (ben oui !). Le second est plus pragmatique : cet événement coïncide en effet avec les vacances scolaires de la Toussaint et, comme lors de mon précédent périple, j'emmène mes propres supporters ! Isabelle, Gaël et Nicolas (ma petite famile à moi), Frédéric (mon beauf !) et Emmeline (sa copine) sont donc sur les rangs.
Enfin, j'ai eu de trés bon echos de copains ayant participé à cette épreuve et la beauté du site m'a été mille fois contée.
Même si l'organisation de cette expédition m'a paru moins compliquée, j'ai quand même souhaité en faire un petit journal qui, je l'espère à nouveau sera jalonné par vos messages et témoignages et se terminera par un long récit et un album photo rempli de mines réjouies.
Alors, c'est parti !
  •  Mai : les premières démarches...
  • Force est de constater que je m'y suis pris plus tard. Début Mai, j'ai donc commencé à chercher des organismes qui proposaient des séjours pour cette occasion : AFCF, THOMAS-COOK (ex Havas)...rien chez eux pour 2004. Deux organisateurs finalement sur les rangs : EHO et PLANET-TOURS. Côté WEB, des témoignages de coureurs qui se sont soit débrouillés seuls ou en groupe mais sans utiliser les services d'un organisme quelconque. J'ai ouvert un forum sur le site CourirLeMonde.org et obtenu quelques témoignages et conseils. Finalement, il n'y avait pas le feu et j'ai tranquillement opté pour un séjour organisé par PLANET-TOURS : inscriptions envoyées le 3 Juin.
  •  Les prestations :
  • Budget de 750 € par personne pour un séjour 6 jours/5 nuits avec petit-dèjeuner, 70 € pour l'inscription au marathon
  • Hôtel 4 * à Mestre : situé à 9 Km du coeur de Venise et facilement accessible par transport en commun en 15 minutes
  • Navette bus pour le départ du marathon à Stra
  • T-Shirt, débardeur et short
  • Assurances rapatriement et annulation (20 €)
  • Assistance d'un représentant sur place
  • Seule formalité pour les ressortissants de la communauté européenne : passeport ou carte d'identité en cours de validité
  •  Le planning :
  • Départ le 22/10 à 7h25, aéroport Roissy-CDG, vol régulier Air-France
  • Marathon le 24/10 à 9h20
  • Retour le 27/10 à 18h00
  •  Septembre :
  • 01/09 : fini les vacances, première semaine de préparation marathon... C'est parti !
  • 12/09 : aprés seulement 2 semaines de préparation, retour à la compétition à l'occasion du semi-marathon de Auray-Vannes : temps idéal, soleil et température inférieure à 25°, et 12 premiers Km courus à une allure trés prudente vu mes précédentes expériences et ma connaissance des difficultés du parcours. Je me suis finalement laché sur les 9 derniers pour finir en 1h38'29" soit 5 minutes de moins qu'en 2003 ! Hyper satisfait surtout que comme tous les ans, j'ai apprécié ce beau parcours, l'organisation toujours aussi parfaite et un public dense et trés chaleureux dans les zones difficiles.
  • 13/09 : Planet-Tours se rappelle à mes bons souvenirs pour me réclamer le solde du séjour : mis à part une rallonge de 26 € liée à la hausse des carburants, pas de mauvaise surprise... ça se précise à moins de 6 semaines du jour J. Je me suis acheté une petite méthode d'Italien sur PC juste pour connaitre quelques mots stratégiques : buongiorno, arrivederci, grazie... la base quoi !
  •  Octobre :
  • 15/10 : mon nom est enfin apparu sur le site du marathon... je suis bien inscrit, ouf !
    Inscription
    Ma préparation touche à sa fin dans la fraîcheur et l'humidité aprés avoir commencé sous la canicule : une fois de plus, j'ai bien supporté ce plan d'entraînement à 3h15 qui me convient si bien.
  • 19/10 : au courrier ce matin, LA lettre de confirmation de mon inscription au marathon. J'aurai donc le numéro de dossard 2324. Ce soir, une petite sortie de...39 minutes : plus l'habitude de faire si court mais heureux de pouvoir un peu souffler.
  • Le jour M (ou V)...approche. Encore un petit footing de 40' mercredi et départ pour Paris jeudi 21 après-midi. L'heure est maintenant aux préparatifs du voyage : surtout ne pas oublier ma licence FFA et cette lettre sans laquelle aucun dossard ne pourra m'être remis...Comme à New-York, un appareil photo jetable à la ceinture, je tâcherai de prendre quelques clichés en course et, pour l'ambiance, il faudra attendre encore un peu...9h20 dimanche prochain !!!
    Un petit merci à Guy, Luc, Renaud, Evy, Riri pour leurs encouragements, à tous ceux qui m'ont fait partager leur expérience du marathon et aux autres qui m'ont communiqué leur passion pour cette ville enchanteuse et son carnaval.
    Le 26, j'aurai une petite pensée pour mon gentil banquier de voisin...dont ce sera l'anniversaire : comme moi. Eh oui !
Le dossard

Voir Venise et... courir... pour le plaisir.


Voilà, aujourd'hui, c'est fait : aprés la préparation, voici le récit de cette belle aventure.
Une course vraiment digne du site qui l'accueille : encore un merveilleux moment ajouté à mon carnet de marathonien.

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La médaille

Le récit


  •  22 et 23 Octobre : 6h30, nous sommes au rendez-vous à Roissy. Rachid, notre accompagnateur Planet-Tours nous attend. Un petit groupe s'affaire autour de lui. Remise des billets d'avions et tenues de course, enregistrement des bagages, embarquement et décollage sans retard : nous voici déjà à l'aéroport Marco Polo de Venise et il n'est que 9h15. Un temps couvert nous accueille ainsi qu'un bus qui nous mène à l'hôtel Ramada, 4* en banlieue de Mestre. Cette première journée sera marquée par..une gréve des bus. Rachid, fait le nécessaire et un autre bus nous conduit à nos frais à l'expo marathon où nous retirerons nos dossards. Une première pizza bien méritée et, tant bien que mal, nous arriverons en cours d'après-midi à Venise pour une première visite. Cette rude journée à permis à tous les membres du groupe de faire connaissance et de sympathiser. Un dîner pas terrible au restau de l'hôtel et une bonne nuit plus tard, nous voici de nouveau à Venise pour une journée intense de tourisme : j'avais bien prévu un peu de repos en ce samedi après-midi mais impossible de résister à la beauté du site. Bilan : mal aux pattes dés le samedi soir et coucher à ...23h00. Pas trés sérieux... on verra dimanche. Un constat : en cette veille de course, rien à Venise ne laisse à penser que le lendemain aura lieu un marathon : pas de pub, ni la moindre structure temporaire, rien...
  •  24 Octobre :
  • 5h30 : l'hôtel nous à ouvert les portes de son restaurant pour le petit déjeuner. Rachid nous prodigue quelques bons conseils mais, en élèves dissipés, nous ne l'écoutons que d'une oreille distraite. Tout le monde y va de ses conseils et expériences personnelles : un bon moyen de se décontracter et d'oublier un peu l'épreuve qui nous attend.
  • 7h20 : nous montons dans le bus qui nous conduit à Stra. Le temps est brumeux mais trés doux. Un peu trop décontractés : le temps de descendre du bus, de faire une première photo de groupe, de se mettre en tenue et... voilà notre camion vestiaire qui corne et part sans nos effets persos... UN premier sprint pour se mettre en jambe : finalement nos sacs sont ramassés par un inconnu et chargés dans un bus : spécial retardataires ? Pas le temps de se poser la question : on verra à l'arrivée car il est temps de se rendre dans les sas de départ. Me voilà donc prêt à affronter de nouveau ces 42Km de légende.
  • 9h00 : l'ambiance avant le départ est trés calme et détendue. Peu d'étrangers (autres que des italiens !) à mes côtés, pas de sac poubelle sur le dos car la température est déjà trés douce, vraiment pas l'impression d'être au départ d'un marathon.
  • 9h20 : c'est parti. Le départ tant attendu est donné et tout le mode démarre sous les applaudissements des spectateurs qui jalonnent les rues de Stra. Puce à la cheville, je franchi avec émotion la ligne de départ avec en tête le même objectif qu'à New-York : me faire plaisir et en profiter un max. J'ai donc à la ceinture un petit appareil photo jetable qui me permettra de prendre des 'notes' sur le parcours.
  • Le premier semi : mis à part la masse compacte des 5000 participants, je découvre une ambiance jusque là inconnue. Nous longeons un cours d'eau et alternons traversées de villages et tronçons en pleine campagnes. Vraiment belle cette première partie ! Les spectateurs sont massés dans les villages et nous soutiennent avec leur 'Forza', 'Bravi', 'Brava', 'Bravo' et autres superlatifs (dont mon cerveau, modestement irrigué pendant la course, ne saisi pas le sens : mais ce n'est pas à lui que j'en demande le plus !) sans débordement de joie excessif ni exhubérance particulière. Cette attitude contraste avec les différents groupes musicaux qui jalonnent le parcours. Mis à part une fanfare traditionnelle, c'est plutôt rock'n roll !!
    Côté course, rien à dire, je déroule avec le souci de ne pas trop forcer, les yeux et les oreilles grand ouverts. Je passerai le semi en 1h51' : pas de quoi pavoiser mais plutôt une garantie pour la suite.
    Vers le 7e Km, de rejoins l'autre Jean-Claude du groupe : juste le temps d'une petite photo et d'un échange verbal dont le contenu intellectuel nuirait à la qualité de ce récit. JC, lui qui voulait en mettre plein la vue aux Kenyans : c'est pas son jour mais il le vit bien !
  • Marghera : passage devant l'expo marathon et 25e Km. Je tiens le rythme mais sens bien qu'il faudra ralentir un moment ou un autre en prévision du final qu'on m'a annoncé difficile.
  • Mestre : cette traversée est contrastée. Une premère partie de zone industrielle à oublier, puis une partie en ville où l'on retrouve les spectateurs. Au 28e Km, mon oreille gauche est attirée par des 'Papa' dont la voix m'est familière : mon clan est là ! Le temps d'un bisou à tout le monde et un gros coup de pouce au moral : je reprends sur les chapeaux de roues (ou presque !) et affronte un boulevard assez long où l'on croise ceux qui, de l'autre côté, ont un peu d'avance au chrono. Je n'aime pas trop mais il y a du monde sur le passage pour vous pousser et ça passe finalement bien.
  • Le pont : la sortie de Mestre est marquée par une petite côte derrière laquelle se cache LE pont. Nous en sommes au 33 e Km, les jambes commencent à donner des signes de fatigue. Il semble ne pas avoir de fin ce pont. Au loin, rien ! Venise est perdue dans la brume ! Une portion du pont est réservée aux courreurs, l'autre à la circulation. Je regarde les bus oranges de la CATV passer et me dit que mon clan, en passe de rejoindre l'arrivée, est peut-être dans l'un d'eux. J'y prête attention quelques minutes puis le pont reprend ses droits... purée ! ce qu'il est long ce pont !!! 34, 35, je compte les kilos...
    Sans le savoir, je suis épié ! Quelques photos seront donc prises par mes supporters qui, à bord d'un bus, m'ont repéré au kilomètre 35. Les premières ombres de Venise se détachent alors petit à petit au fil des kilomètres : 36, 37 et pour en finir une jolie montée pour aborder le 38e et fouler le sol vénitien. Je m'arrête quelques instant et prends un cliché du panneau "VENISE" tant attendu. Quelques foulées plus loin, mon regard se pose sur Frédo qui appareil en main, fige sur sa 'pellicule' (numérique) un coureur à la grimace significative. La descente qui suit me fait vraiment du bien : maintenant c'est tout bon !
  • Le final : cap au sud par une zone portuaire, le paysage n'est pas chouette et les spectateurs peu nombreux. Un peu plus loin de retour sur les bords de la lagune, la vue devient superbe. Les 3 derniers kilomètres sont magnifiques mais composés d'une succession incroyable de ponts sur lequels des rampes ont été aménagées. Chaque descente me fait mal aux cuisses. Le campanile de la place Saint-Marc apparaît alors. Une barge placée là - au 40e Km juste aprés l'église du Salut - nous permet de traverser le Grand Canal : une photo s'impose. Hier, nous passions là en vaporetto ! La foule se fait plus dense et chaleureuse sur les 2 derniers kilomètres. Encore quelques ponts puis la place Saint-Marc : je jette un oeil en direction du pont des soupirs alors que je franchis le seul pont sur lequel aucune rampe n'est aménagée. Sans m'en apercevoir, j'ai cessé de compter les kilomètres et oublié ma fatigue.
    Rachid, une casquette orange à la main, m'encourage. Les supporters du groupe sont là eux-aussi en pleine forme : les derniers ponts ne sont plus qu'une formalité. Une dernière photo à l'arrivée, un oeil au chrono tout de même et toujours cette immense satifaction lorsque la médaille de 'finisher' m'est passée autour du cou.
    Vient le temps de me changer puis de retrouver Rachid, mes supporters puis les autres marathoniens du groupe : photos, félicitations, tout le monde savoure cet instant. Pour ne pas perdre une minute de ce lieu, je ne repasserai pas par l'hôtel et, aprés un bon déjeuner, nous repartons tous pour une bonne promenade à travers la ville : le ponts se rappellerons encore à moi à chaque marche descendue : aïe ! mes cuisses !!
  •  25 au 27 Octobre : changement d'hôtel le lundi matin pour le Laguna Suite : à nos frais, une matinée de perdue. Cet hôtel haut de gamme nous paraît bien froid par son design qui nous fait penser à Alcatraz ! J'achèterai le journal local Il Gazzettino dans lequel figurent les résutats complets du marathon. Parmi nos objectifs, l'Amerigo Vespucci, bateau école de la marine Italienne, que malheureusement nous ne pourrons pas visiter. Nous continuerons donc nos visites des quartiers de Venise, des iles de Murano et Burano ne manquant pas une occasion de nous déplacer en vaporetto. Le dernier jour, la pluie matinale cèdera sa place à un soleil magnifique. Nous découvrirons alors Venise et sa place Saint-Marc sous les eaux : un joli spectacle que ses monuments inondés et ces files de touristes se déplaçant sur des enfilades de tréteaux dont la présence nous avait tant intriguée depuis le début de notre séjour. Dernier déjeuner, dernières graines aux pigeons, c'est déjà l'heure du dernier vaporetto : direction l'hôtel où un bus nous raccompagnera à l'aéroport.
  •  Bilan :
  • Côté marathon : 3h43'22", un temps comparable aux 3h44' de New-York pour ce marathon réalisé dans le même esprit. J'en garde aujourd'hui le souvenir d'une course bien organisée, aux ambiances contrastées, trés roulante, au final difficile et magnifique. Une course pas comme les autres, c'est bien là l'essentiel.
  • Côté organisation : je garderai Planet-tours dans mon carnet d'adresse, c'est certain. Même si nous avons un peu essuyé les plâtres côté hôtellerie, le voyage était bien organisé et notre accompagnateur, sympatique, trés disponible et réactif face aux différents aléas du séjour (grève des bus, changement d'hôtel). Les autres coureurs m'ont vanté les mérites de cette association et de ses prouesses sur d'autres grands marathons...pensez-y lors de vos prochains voyages et comparez.
  • Côté Venise : c'est beau, trés beau. Il faut y aller pour percevoir l'ambiance locale et la richesse du site. La restauration n'y est pas trop coûteuse. Mestre, ville peu attractive en elle-même, de par sa proximité et sa bonne accéssibilité en bus ou train est un site intéressant côté hébergement. Seuls points assez coûteux, les visites de musées (il existe cependant un pass moins honéreux pour accéder à plusieurs musées) et les transports en vaporetto (5 € le trajet, 10.50 € le forfait 24h ou 22 € le forfait 72h). Un conseil : la validité d'un forfait démarre à sa date d'achat. Il est donc inutile d'en acheter à l'avance ! 6 Jours, ne nous ont pas permis de tout visiter même si nous n'avons pas chômé et bien usé nos semelles sur les pavés vénitiens. Les enfants sont appréciés ce séjour : les ballades en vaporetto, les pigeons peu farouches qu'ils allaient nourrir chaque jour, les pizzas, paninis et autre pâtes ont fait leur bonheur.
    Bref, encore un bonheur en famille : mon idéal de papa marathonien !!
  •  Souvenir : 25 janvier 2005, une enveloppe dans la boîte aux lettres...le diplôme et 4 épreuves de photos...le campanile, la place San Marco et la ligne d'arrivée ont tous un point commun : MOI ! Trop beau ! Je commande...pour 19,50 €, raisonnable, non ? Payées avec un chèque postal, elles sont arrivées le 18 mars 2005 : superbes ! (Je les ajoute sans tarder à l'album).
Le Diplome
Vos messages
U10/10/2004
francine
bonsoir, je lis avec attention votre future participation au marathon de Venise. Je connais particulièrement bien un ami qui habite Padova(it) qui y participe chaque année. Vous allez vous régaler ! Venise, que je fréquente très souvent et qui est ma ville porte-bonheur est idéale pour recevoir ce genre de manifestation, vu que tout le monde (ou presque) circule à pieds. Mon attachement à la cité des doges est aussi due au carnaval et mon site résume un peu ce que j'y ressens.
U12/10/2004
Evy
Salut JC, tu m'as reconnu ? Reçois toute ma bénédiction et mes encouragements pour ton marathon dans la cité papale ! Bisous à toute la famille et à bientôt pour le récit
Arrivederci
U13/10/2004
brbl
bonjour,
a titre d'information dans le cas ou tu voudrais refaire le marathon de venise a un prix encore + interressant. Je me suis occupé d'envoyer une trentaine de personnes.
Je suis passé par le syndicat d'initative. Le syndicat nous a touvé des bungalows à mestre. nous prenons l'avion RYANAIR à charleroi.
(belgique)

Comme nous somme nombreux le cout du dossard tombe à 50 euros.
l'avion cout de 91€91.
Bus de lille à charleroi, 23€ par personne.
Logement + petit dej 160€ du 22/10 au 26/10 5jours 4nuits.
cout total par personne un peu moins de 300€ pour un coureur et 250€ pour un non coureur.

necessiste jamais a faire les demarches toi même si cela prend un peu de temps, mais côté argent , il y a matiere a gagner beaucoup.

A+ Bruno
U19/10/2004
Guy
Salut jean Claude
le compte à rebours est commencé et à J - 5 tu te demandes bien où tu en es. Suis-en forme où pas ? C'est normal, on se pose toujours cette question ! Une certaine appréhension ? tant mieux, car c'est elle le moteur qui va te stimuler. Si je peux me permettre juste un conseil facile d'ici dimanche "repose toi!" c'est à dire fait juste un ou 2 footings,légers, très légers, de 30' à 40 '
Mange bien et fais toi plaisir. Si tu as envie "d'une bonne bière" n'hésite pas ! Ton temps tu vas l'accomplir car tu l'as bien préparé ! et tu le veux! c'est ça la volonté d'un marathonien, car il faut courir avec sa tête, ce qui aussi important que les jambes. Là aussi, tu sais faire. Alors profites bien également de ce site merveilleux qu'est Venise, je t'adresses le mot de Cambrone.

U24/10/2004
Arnold Gilliard
Jean-Claude,
En recherchant les résultats du marathon de Venise, je suis arrivé sur ton WEB. C'est sympa. J'espère que tu as apprécié Venise et son marathon, c'est une ville fantastique. J'espère également que ta famille s'y est bien amusée. Ancien marathonien (j'ai raccroché en 1989, à 40 ans) je ne pratique plus que le 'petit' jogging de santé. Au fait ... si je réagis de la sorte c'est parce que moi aussi je suis né le 26/10 ... Bon anniversaire Jean-Claude ... Arnold
U25/10/2004
Michelle
J'ai couru le marathon de Venise hier en m'inscrivant au programme de coach "MY first marathon de Julia Jones". Premier marathon, première course, j'ai réussi en 5h!!! LA ballade était très belle...Salutations, Michelle
U28/10/2004
ALAIN
bravo pour le site, sais tu où l'on peut trouver les résultats du marathon de VENISE ; de la part de RAYNALD ROSSIGNOL qui aurait terminé 2ème vétéran français.
MERCI POUR LUI.
U01/11/2004
herry sebastien
Salut Mr le webmaster préféré, je fais de nouveau parti de l'UFCPH et je cherche à pouvoir entrer dans la section "membres". Peux tu me donner les éléments ? Et encore félicitations pour le marathon de Venise.
A bientot à l'entrainement
Amitié Sébastien
U12/11/2004
luc.
quel talent de narrateur !!!!!!!!! tu vas finir par nous faire un livre complet sur ta passion du marathon. in vrai régal, on ferme les yeux et on a l impression de courir avec toi
U01/12/2004
Patissou Patrick
Grazie mile , jean claude pour nous rappeler ce merveilleux séjour marathon à Venise , et bravo pour cet état d'esprit.
comme pour NYC 2003 , je prolonge ce plaisir aprés l'effort , en consultant ce genre de récit.
il est certain que la veille d'un marathon , il faut se ménager , mais à Venise , c'est incontrolable , et avec l'autre Patrick (50 marathons!)nous avons arpenté les ruelles ,les ponts ... qelle ville merveilleuse !
bonne continuation , le bonjour à ta petite famille et à bientôt peut être à LAS VEGAS , LONDRES ,PEKIN ...
Patrick
U27/02/2005
CHRISTINE
J'envisage de faire un marathon d'automne et la lecture de votre périple me donne bien envie de tester également.
U19/06/2006
flo
quel compte rendu sur le marathon de venise sur votre site !! merci, je suis en quête d'infos car c'est l'occasion pour moi de courir mon premier marathon !! la fin du parcours n'a pas l'air évidente, mais tant pis, j'y vais pour le côté touristique de la chose, sans pression de chrono, juste pour, comme vous, être "catégoriée" "finisher" . sportivement, florence
Merci !

Envie d'en parler, de me faire part de vos impressions ou d'en savoir plus pour, qui sait, y aller prochaînement. Ne vous privez pas il est là pour ça... mon livre d'or.

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